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court-circuit.band
Biographie
Endz, passeport sonique vers le futur, ou machine à remonter le temps jusqu'au nineties, vous emmène au gré de mélodies sinueuses dans les esprits encombrés de Fabrice "Fabiola" Detry, loïc b.o. et Kevin P (futurs ex membres actuels ou passés de Austin Lace, Flexa Lyndo ou He Died While Hunting, notamment). Vous y découvrirez, lovés dans un coin de leurs têtes, des milliers de disques qui tournent en boucle, et notamment ceux de Pavement, des Flaming Lips, d'Ariel Pink ou de Yo La Tengo. Vous y trouverez aussi des voix candides perdues dans des nuages de guitares shoegaze, une basse qui groove et qui prend des tournants imprévus, et une batterie qui, au gré de ses humeurs, distribue des claques ou des caresses.
Endz sort donc son premier album "Shake", mixé par Aurélien Auchain (Moutain Bike, June Moan). Cet album, dont la pochette est signée du designer graphique californien Tyler Splangler, résulte de multiples sessions d'improvisation au cours desquelles le groupe a volontairement décidé de jouer au radar. Endz ne fonctionne pas en couplets/refrains douillettement composés au coin du feu, mais par essai/erreur. Le groupe n'hésite pas à maltraiter la mélodie pour la faire renaître différemment. Traverser des zones d'inconfort, quitte à flirter avec des sonorités beaucoup plus dures. Trouver l'équilibre entre la saleté et la beauté, entre le chaos et la rigueur, telle est la mission fixée par le trio. Et l'intérêt du groupe réside d'ailleurs dans la composition-même du groupe. Le trio constitue, par essence, une entité fragile et dès lors particulièrement excitante. Une batterie, une guitare, une basse et trois voix doivent suffire à créer un univers, une magie.
Biographie
Endz, passeport sonique vers le futur, ou machine à remonter le temps jusqu'au nineties, vous emmène au gré de mélodies sinueuses dans les esprits encombrés de Fabrice "Fabiola" Detry, loïc b.o. et Kevin P (futurs ex membres actuels ou passés de Austin Lace, Flexa Lyndo ou He Died While Hunting, notamment). Vous y découvrirez, lovés dans un coin de leurs têtes, des milliers de disques qui tournent en boucle, et notamment ceux de Pavement, des Flaming Lips, d'Ariel Pink ou de Yo La Tengo. Vous y trouverez aussi des voix candides perdues dans des nuages de guitares shoegaze, une basse qui groove et qui prend des tournants imprévus, et une batterie qui, au gré de ses humeurs, distribue des claques ou des caresses.
Endz sort donc son premier album "Shake", mixé par Aurélien Auchain (Moutain Bike, June Moan). Cet album, dont la pochette est signée du designer graphique californien Tyler Splangler, résulte de multiples sessions d'improvisation au cours desquelles le groupe a volontairement décidé de jouer au radar. Endz ne fonctionne pas en couplets/refrains douillettement composés au coin du feu, mais par essai/erreur. Le groupe n'hésite pas à maltraiter la mélodie pour la faire renaître différemment. Traverser des zones d'inconfort, quitte à flirter avec des sonorités beaucoup plus dures. Trouver l'équilibre entre la saleté et la beauté, entre le chaos et la rigueur, telle est la mission fixée par le trio. Et l'intérêt du groupe réside d'ailleurs dans la composition-même du groupe. Le trio constitue, par essence, une entité fragile et dès lors particulièrement excitante. Une batterie, une guitare, une basse et trois voix doivent suffire à créer un univers, une magie.