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court-circuit.band
Biographie
Aristide a récemment sorti son premier E.P. «Marre des ragots», mais il écrit et chante
depuis plusieurs années. Son disque est le fruit d'une longue évolution.
Né à Bruxelles le 14 octobre 1997, il chante pour la première fois ses chansons sur
scène à l'âge de 16 ans. Influencé alors principalement par Damien Saez, Jacques Brel
et Léo Ferré, il écrit de longues proses hermétiques sur lesquelles il plaque des accords
sombres. Il abandonne l'hermétisme en découvrant la poésie de William Cliff et met au
contraire depuis lors un point d'honneur à ce que ses chansons racontent des histoires
accessibles par tous et toutes.
En rentrant d'un long voyage au Canada, il fonde son premier groupe (violoncelle,
cajón et piano) qui l'accompagne pendant deux ans. C'est à cette occasion qu'il
commence à arranger pour d'autres instruments que sa guitare.
Poursuivant sa formation d'interprète dans un atelier donné par Anouk Ganzevoort, il
colore de plus en plus d'humour la mélancolie de ses chansons, et apprend à faire de sa
maladresse une force scénique.
Le jour où il chante «Marre des ragots» pour la première fois, les 20 personnes avec qui
il cohabite se mettent à danser. Il se décide à ce moment à enregistrer un E.P., où des
instruments comme l'accordéon ou le violoncelle se mêlent aux guitares électriques et
aux batteries. En compagnie d'Orel, son ingénieur du son, il passe ensuite de
nombreuses heures à réarranger les sons au clavier.
Aujourd'hui, ses chansons posent des questions existentielles autant qu'elles
racontent des ragots de comptoir. Ce personnage mélancolique à la Charlie Chaplin
s'est essentiellement produit sur les scènes de Bruxelles et de Liège et alterne les
formules de groupes et le guitare-voix avec autant de bonheur.
Ses clips racontent les aventures d'un anti-héros à la fois maladroit et attachant qui
évolue dans un univers rempli de personnages absu
depuis plusieurs années. Son disque est le fruit d'une longue évolution.
Né à Bruxelles le 14 octobre 1997, il chante pour la première fois ses chansons sur
scène à l'âge de 16 ans. Influencé alors principalement par Damien Saez, Jacques Brel
et Léo Ferré, il écrit de longues proses hermétiques sur lesquelles il plaque des accords
sombres. Il abandonne l'hermétisme en découvrant la poésie de William Cliff et met au
contraire depuis lors un point d'honneur à ce que ses chansons racontent des histoires
accessibles par tous et toutes.
En rentrant d'un long voyage au Canada, il fonde son premier groupe (violoncelle,
cajón et piano) qui l'accompagne pendant deux ans. C'est à cette occasion qu'il
commence à arranger pour d'autres instruments que sa guitare.
Poursuivant sa formation d'interprète dans un atelier donné par Anouk Ganzevoort, il
colore de plus en plus d'humour la mélancolie de ses chansons, et apprend à faire de sa
maladresse une force scénique.
Le jour où il chante «Marre des ragots» pour la première fois, les 20 personnes avec qui
il cohabite se mettent à danser. Il se décide à ce moment à enregistrer un E.P., où des
instruments comme l'accordéon ou le violoncelle se mêlent aux guitares électriques et
aux batteries. En compagnie d'Orel, son ingénieur du son, il passe ensuite de
nombreuses heures à réarranger les sons au clavier.
Aujourd'hui, ses chansons posent des questions existentielles autant qu'elles
racontent des ragots de comptoir. Ce personnage mélancolique à la Charlie Chaplin
s'est essentiellement produit sur les scènes de Bruxelles et de Liège et alterne les
formules de groupes et le guitare-voix avec autant de bonheur.
Ses clips racontent les aventures d'un anti-héros à la fois maladroit et attachant qui
évolue dans un univers rempli de personnages absu
Biographie
Aristide a récemment sorti son premier E.P. «Marre des ragots», mais il écrit et chante
depuis plusieurs années. Son disque est le fruit d'une longue évolution.
Né à Bruxelles le 14 octobre 1997, il chante pour la première fois ses chansons sur
scène à l'âge de 16 ans. Influencé alors principalement par Damien Saez, Jacques Brel
et Léo Ferré, il écrit de longues proses hermétiques sur lesquelles il plaque des accords
sombres. Il abandonne l'hermétisme en découvrant la poésie de William Cliff et met au
contraire depuis lors un point d'honneur à ce que ses chansons racontent des histoires
accessibles par tous et toutes.
En rentrant d'un long voyage au Canada, il fonde son premier groupe (violoncelle,
cajón et piano) qui l'accompagne pendant deux ans. C'est à cette occasion qu'il
commence à arranger pour d'autres instruments que sa guitare.
Poursuivant sa formation d'interprète dans un atelier donné par Anouk Ganzevoort, il
colore de plus en plus d'humour la mélancolie de ses chansons, et apprend à faire de sa
maladresse une force scénique.
Le jour où il chante «Marre des ragots» pour la première fois, les 20 personnes avec qui
il cohabite se mettent à danser. Il se décide à ce moment à enregistrer un E.P., où des
instruments comme l'accordéon ou le violoncelle se mêlent aux guitares électriques et
aux batteries. En compagnie d'Orel, son ingénieur du son, il passe ensuite de
nombreuses heures à réarranger les sons au clavier.
Aujourd'hui, ses chansons posent des questions existentielles autant qu'elles
racontent des ragots de comptoir. Ce personnage mélancolique à la Charlie Chaplin
s'est essentiellement produit sur les scènes de Bruxelles et de Liège et alterne les
formules de groupes et le guitare-voix avec autant de bonheur.
Ses clips racontent les aventures d'un anti-héros à la fois maladroit et attachant qui
évolue dans un univers rempli de personnages absu
depuis plusieurs années. Son disque est le fruit d'une longue évolution.
Né à Bruxelles le 14 octobre 1997, il chante pour la première fois ses chansons sur
scène à l'âge de 16 ans. Influencé alors principalement par Damien Saez, Jacques Brel
et Léo Ferré, il écrit de longues proses hermétiques sur lesquelles il plaque des accords
sombres. Il abandonne l'hermétisme en découvrant la poésie de William Cliff et met au
contraire depuis lors un point d'honneur à ce que ses chansons racontent des histoires
accessibles par tous et toutes.
En rentrant d'un long voyage au Canada, il fonde son premier groupe (violoncelle,
cajón et piano) qui l'accompagne pendant deux ans. C'est à cette occasion qu'il
commence à arranger pour d'autres instruments que sa guitare.
Poursuivant sa formation d'interprète dans un atelier donné par Anouk Ganzevoort, il
colore de plus en plus d'humour la mélancolie de ses chansons, et apprend à faire de sa
maladresse une force scénique.
Le jour où il chante «Marre des ragots» pour la première fois, les 20 personnes avec qui
il cohabite se mettent à danser. Il se décide à ce moment à enregistrer un E.P., où des
instruments comme l'accordéon ou le violoncelle se mêlent aux guitares électriques et
aux batteries. En compagnie d'Orel, son ingénieur du son, il passe ensuite de
nombreuses heures à réarranger les sons au clavier.
Aujourd'hui, ses chansons posent des questions existentielles autant qu'elles
racontent des ragots de comptoir. Ce personnage mélancolique à la Charlie Chaplin
s'est essentiellement produit sur les scènes de Bruxelles et de Liège et alterne les
formules de groupes et le guitare-voix avec autant de bonheur.
Ses clips racontent les aventures d'un anti-héros à la fois maladroit et attachant qui
évolue dans un univers rempli de personnages absu