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court-circuit.band
Biographie
GARAGE BAND HYPNOTIC GIRLZ BIG NOISE
BICKY LOVE est ce genre d’apparition qui déjoue les catégories, comme une friture mythique commandée à 4h du mat’ qui vous fait soudain croire en l’amour — ou au moins en la possibilité d’une réconciliation entre les marges. Projet bruxellois multiforme, né quelque part entre un local de répète moite et un dancefloor post-punk hanté, BICKY LOVE est une entité à cinq têtes (ou plus, selon les soirs), nourrie à la sueur des scènes DIY, à l’ironie pop et à la rage douce des identités multiples.
Formé autour de Cristel et Chloé (chant et claviers), Eve (basse, claviers), Elfie (batterie) et Thomas (guitare), BICKY LOVE façonne une musique brute, presque tactile, qui flirte avec la transe sans jamais lâcher le mordant.
Naviguant entre no wave, post-club, spoken word désenchanté et techno en lo-fi mineur, BICKY LOVE ne cherche pas l’harmonie — elles construisent du trouble. Sur scène, c’est un mélange brut d’électrons cabossés : beats distordus, basses entêtantes, voix qui oscillent entre caresses murmurées et cris déchirés. Il y a du Au Pairs, du The SOUND, du B-52 et beaucoup de ce que Bruxelles fait de mieux : le chaos poétique, la tendresse désabusée, et l’humour comme mode de survie.
Formées dans les interstices d’une ville qui ne dort jamais mais rêve souvent, les membres de BICKY LOVE sont aussi comédiennes, DJ, vidéastes ou poètes de fin de nuit. Chaque set est un rituel hybride : concert, rave, manifeste féministe, appel d’air. Le groupe revendique une esthétique lo-fi, non par nostalgie, mais comme posture politique : celle de faire avec ce qu’on a, et d’en tirer des mondes nouveaux.
Après plusieurs apparitions remarquées dans des lieux qui sentent encore la bière chaude et la liberté (l’Atelier210, le Théâtre 140, la Brasserie Illegaal, La Mule, Le BAMP, Le Brass, LeCoq’Art Festival, et bientôt, ouvrira la saison des Riches-Claires et retournera chez Illegaal).
Leur premier EP, cruel as life, sorti en 2024, a posé les bases d’une esthétique sans concession : un son romantique qui gratte, qui hante, mais qui fait aussi danser. Un deuxième disque est en gestation avancée — plus affûté, plus profond, presque incandescent. Un disque qui promet d’être aussi brut que lumineux, traversé par des textes où le spleen millennial flirte avec des beats abrasifs et des refrains pop qui restent collés au palais comme une sauce samouraï maison.
BICKY LOVE, c’est un slow dans un kebab à la fermeture, un cri dans un micro qui crache, une déclaration d’amour à l’éphémère. À suivre de très près — de préférence en transpirant au fond d’une salle moite, avec les basses dans le plexus et le cœur sur la table.
mit/met/avec : Cristel Vander Stappen, Chloé Périlleux, Elfie Dirand, Eve Leguebe & Thomas Venegoni
BICKY LOVE est ce genre d’apparition qui déjoue les catégories, comme une friture mythique commandée à 4h du mat’ qui vous fait soudain croire en l’amour — ou au moins en la possibilité d’une réconciliation entre les marges. Projet bruxellois multiforme, né quelque part entre un local de répète moite et un dancefloor post-punk hanté, BICKY LOVE est une entité à cinq têtes (ou plus, selon les soirs), nourrie à la sueur des scènes DIY, à l’ironie pop et à la rage douce des identités multiples.
Formé autour de Cristel et Chloé (chant et claviers), Eve (basse, claviers), Elfie (batterie) et Thomas (guitare), BICKY LOVE façonne une musique brute, presque tactile, qui flirte avec la transe sans jamais lâcher le mordant.
Naviguant entre no wave, post-club, spoken word désenchanté et techno en lo-fi mineur, BICKY LOVE ne cherche pas l’harmonie — elles construisent du trouble. Sur scène, c’est un mélange brut d’électrons cabossés : beats distordus, basses entêtantes, voix qui oscillent entre caresses murmurées et cris déchirés. Il y a du Au Pairs, du The SOUND, du B-52 et beaucoup de ce que Bruxelles fait de mieux : le chaos poétique, la tendresse désabusée, et l’humour comme mode de survie.
Formées dans les interstices d’une ville qui ne dort jamais mais rêve souvent, les membres de BICKY LOVE sont aussi comédiennes, DJ, vidéastes ou poètes de fin de nuit. Chaque set est un rituel hybride : concert, rave, manifeste féministe, appel d’air. Le groupe revendique une esthétique lo-fi, non par nostalgie, mais comme posture politique : celle de faire avec ce qu’on a, et d’en tirer des mondes nouveaux.
Après plusieurs apparitions remarquées dans des lieux qui sentent encore la bière chaude et la liberté (l’Atelier210, le Théâtre 140, la Brasserie Illegaal, La Mule, Le BAMP, Le Brass, LeCoq’Art Festival, et bientôt, ouvrira la saison des Riches-Claires et retournera chez Illegaal).
Leur premier EP, cruel as life, sorti en 2024, a posé les bases d’une esthétique sans concession : un son romantique qui gratte, qui hante, mais qui fait aussi danser. Un deuxième disque est en gestation avancée — plus affûté, plus profond, presque incandescent. Un disque qui promet d’être aussi brut que lumineux, traversé par des textes où le spleen millennial flirte avec des beats abrasifs et des refrains pop qui restent collés au palais comme une sauce samouraï maison.
BICKY LOVE, c’est un slow dans un kebab à la fermeture, un cri dans un micro qui crache, une déclaration d’amour à l’éphémère. À suivre de très près — de préférence en transpirant au fond d’une salle moite, avec les basses dans le plexus et le cœur sur la table.
mit/met/avec : Cristel Vander Stappen, Chloé Périlleux, Elfie Dirand, Eve Leguebe & Thomas Venegoni
Prochains concerts
Biographie
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BICKY LOVE est ce genre d’apparition qui déjoue les catégories, comme une friture mythique commandée à 4h du mat’ qui vous fait soudain croire en l’amour — ou au moins en la possibilité d’une réconciliation entre les marges. Projet bruxellois multiforme, né quelque part entre un local de répète moite et un dancefloor post-punk hanté, BICKY LOVE est une entité à cinq têtes (ou plus, selon les soirs), nourrie à la sueur des scènes DIY, à l’ironie pop et à la rage douce des identités multiples.
Formé autour de Cristel et Chloé (chant et claviers), Eve (basse, claviers), Elfie (batterie) et Thomas (guitare), BICKY LOVE façonne une musique brute, presque tactile, qui flirte avec la transe sans jamais lâcher le mordant.
Naviguant entre no wave, post-club, spoken word désenchanté et techno en lo-fi mineur, BICKY LOVE ne cherche pas l’harmonie — elles construisent du trouble. Sur scène, c’est un mélange brut d’électrons cabossés : beats distordus, basses entêtantes, voix qui oscillent entre caresses murmurées et cris déchirés. Il y a du Au Pairs, du The SOUND, du B-52 et beaucoup de ce que Bruxelles fait de mieux : le chaos poétique, la tendresse désabusée, et l’humour comme mode de survie.
Formées dans les interstices d’une ville qui ne dort jamais mais rêve souvent, les membres de BICKY LOVE sont aussi comédiennes, DJ, vidéastes ou poètes de fin de nuit. Chaque set est un rituel hybride : concert, rave, manifeste féministe, appel d’air. Le groupe revendique une esthétique lo-fi, non par nostalgie, mais comme posture politique : celle de faire avec ce qu’on a, et d’en tirer des mondes nouveaux.
Après plusieurs apparitions remarquées dans des lieux qui sentent encore la bière chaude et la liberté (l’Atelier210, le Théâtre 140, la Brasserie Illegaal, La Mule, Le BAMP, Le Brass, LeCoq’Art Festival, et bientôt, ouvrira la saison des Riches-Claires et retournera chez Illegaal).
Leur premier EP, cruel as life, sorti en 2024, a posé les bases d’une esthétique sans concession : un son romantique qui gratte, qui hante, mais qui fait aussi danser. Un deuxième disque est en gestation avancée — plus affûté, plus profond, presque incandescent. Un disque qui promet d’être aussi brut que lumineux, traversé par des textes où le spleen millennial flirte avec des beats abrasifs et des refrains pop qui restent collés au palais comme une sauce samouraï maison.
BICKY LOVE, c’est un slow dans un kebab à la fermeture, un cri dans un micro qui crache, une déclaration d’amour à l’éphémère. À suivre de très près — de préférence en transpirant au fond d’une salle moite, avec les basses dans le plexus et le cœur sur la table.
mit/met/avec : Cristel Vander Stappen, Chloé Périlleux, Elfie Dirand, Eve Leguebe & Thomas Venegoni
BICKY LOVE est ce genre d’apparition qui déjoue les catégories, comme une friture mythique commandée à 4h du mat’ qui vous fait soudain croire en l’amour — ou au moins en la possibilité d’une réconciliation entre les marges. Projet bruxellois multiforme, né quelque part entre un local de répète moite et un dancefloor post-punk hanté, BICKY LOVE est une entité à cinq têtes (ou plus, selon les soirs), nourrie à la sueur des scènes DIY, à l’ironie pop et à la rage douce des identités multiples.
Formé autour de Cristel et Chloé (chant et claviers), Eve (basse, claviers), Elfie (batterie) et Thomas (guitare), BICKY LOVE façonne une musique brute, presque tactile, qui flirte avec la transe sans jamais lâcher le mordant.
Naviguant entre no wave, post-club, spoken word désenchanté et techno en lo-fi mineur, BICKY LOVE ne cherche pas l’harmonie — elles construisent du trouble. Sur scène, c’est un mélange brut d’électrons cabossés : beats distordus, basses entêtantes, voix qui oscillent entre caresses murmurées et cris déchirés. Il y a du Au Pairs, du The SOUND, du B-52 et beaucoup de ce que Bruxelles fait de mieux : le chaos poétique, la tendresse désabusée, et l’humour comme mode de survie.
Formées dans les interstices d’une ville qui ne dort jamais mais rêve souvent, les membres de BICKY LOVE sont aussi comédiennes, DJ, vidéastes ou poètes de fin de nuit. Chaque set est un rituel hybride : concert, rave, manifeste féministe, appel d’air. Le groupe revendique une esthétique lo-fi, non par nostalgie, mais comme posture politique : celle de faire avec ce qu’on a, et d’en tirer des mondes nouveaux.
Après plusieurs apparitions remarquées dans des lieux qui sentent encore la bière chaude et la liberté (l’Atelier210, le Théâtre 140, la Brasserie Illegaal, La Mule, Le BAMP, Le Brass, LeCoq’Art Festival, et bientôt, ouvrira la saison des Riches-Claires et retournera chez Illegaal).
Leur premier EP, cruel as life, sorti en 2024, a posé les bases d’une esthétique sans concession : un son romantique qui gratte, qui hante, mais qui fait aussi danser. Un deuxième disque est en gestation avancée — plus affûté, plus profond, presque incandescent. Un disque qui promet d’être aussi brut que lumineux, traversé par des textes où le spleen millennial flirte avec des beats abrasifs et des refrains pop qui restent collés au palais comme une sauce samouraï maison.
BICKY LOVE, c’est un slow dans un kebab à la fermeture, un cri dans un micro qui crache, une déclaration d’amour à l’éphémère. À suivre de très près — de préférence en transpirant au fond d’une salle moite, avec les basses dans le plexus et le cœur sur la table.
mit/met/avec : Cristel Vander Stappen, Chloé Périlleux, Elfie Dirand, Eve Leguebe & Thomas Venegoni