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court-circuit.band
Biographie
Désespoir des singes, c’est le nom qu’on donne aux araucarias, arbres-cactus aux feuilles en écailles acérées, mais c’est aussi un nouveau projet indie-folk basé à Bruxelles rêvé par Jérôme Paque, auteur-compositeur. Sous ce nom francophone en trompe-l’œil se cache un projet chanté en anglais et nourri par les grands noms de la folk anglophone tels les Kings of Convenience, mais aussi par Radiohead ou encore Tamino.
L’artiste fait ses premières armes en 2024 au centre culturel de Dinant en ouverture de Bai Kamara Jr. Rejoint en 2025 par Raphaële Germser (basse-violon-chœurs) et Mathias Bressan (batterie), venu.e.s renforcer la proposition scénique, il travaille à la réalisation d’un premier EP à paraître la même année.
Désespoir des singes trouve ses racines dans la région de Dinant, souvenir d’enfance où Jérôme croisa la route de cet arbre aussi majestueux que tortueux. Un arbre qui fait figure de véritable symbole du projet : à première vue rêveur et aérien, mais si l’on tend l’oreille, plus sombre et acéré qu’il n’y paraît. En témoigne le premier single Shadows, fresque incandescente de l’état du monde et de ce que chacun.e choisit d’en faire. Diffusé sur les ondes de Classic 21 et BX1, le morceau a aussi fait l’objet d’une live session tournée au milieu des araucarias.
Après avoir travaillé sur de nombreux projets au théâtre et en poésie, Jérôme Paque, musicien autodidacte, se mue pour la première fois en singer-songwriter. Il nous emmène dans ses paysages intérieurs doux-amers où cohabitent illusions perdues, impuissance face aux événements lointains mais qui pourtant nous
affectent et autres écrans de fumée, sur le chemin sinueux qui sépare le rêve de
la réalité.
Désespoir des singes, l’arbre qui cache la forêt.
L’artiste fait ses premières armes en 2024 au centre culturel de Dinant en ouverture de Bai Kamara Jr. Rejoint en 2025 par Raphaële Germser (basse-violon-chœurs) et Mathias Bressan (batterie), venu.e.s renforcer la proposition scénique, il travaille à la réalisation d’un premier EP à paraître la même année.
Désespoir des singes trouve ses racines dans la région de Dinant, souvenir d’enfance où Jérôme croisa la route de cet arbre aussi majestueux que tortueux. Un arbre qui fait figure de véritable symbole du projet : à première vue rêveur et aérien, mais si l’on tend l’oreille, plus sombre et acéré qu’il n’y paraît. En témoigne le premier single Shadows, fresque incandescente de l’état du monde et de ce que chacun.e choisit d’en faire. Diffusé sur les ondes de Classic 21 et BX1, le morceau a aussi fait l’objet d’une live session tournée au milieu des araucarias.
Après avoir travaillé sur de nombreux projets au théâtre et en poésie, Jérôme Paque, musicien autodidacte, se mue pour la première fois en singer-songwriter. Il nous emmène dans ses paysages intérieurs doux-amers où cohabitent illusions perdues, impuissance face aux événements lointains mais qui pourtant nous
affectent et autres écrans de fumée, sur le chemin sinueux qui sépare le rêve de
la réalité.
Désespoir des singes, l’arbre qui cache la forêt.
Biographie
Désespoir des singes, c’est le nom qu’on donne aux araucarias, arbres-cactus aux feuilles en écailles acérées, mais c’est aussi un nouveau projet indie-folk basé à Bruxelles rêvé par Jérôme Paque, auteur-compositeur. Sous ce nom francophone en trompe-l’œil se cache un projet chanté en anglais et nourri par les grands noms de la folk anglophone tels les Kings of Convenience, mais aussi par Radiohead ou encore Tamino.
L’artiste fait ses premières armes en 2024 au centre culturel de Dinant en ouverture de Bai Kamara Jr. Rejoint en 2025 par Raphaële Germser (basse-violon-chœurs) et Mathias Bressan (batterie), venu.e.s renforcer la proposition scénique, il travaille à la réalisation d’un premier EP à paraître la même année.
Désespoir des singes trouve ses racines dans la région de Dinant, souvenir d’enfance où Jérôme croisa la route de cet arbre aussi majestueux que tortueux. Un arbre qui fait figure de véritable symbole du projet : à première vue rêveur et aérien, mais si l’on tend l’oreille, plus sombre et acéré qu’il n’y paraît. En témoigne le premier single Shadows, fresque incandescente de l’état du monde et de ce que chacun.e choisit d’en faire. Diffusé sur les ondes de Classic 21 et BX1, le morceau a aussi fait l’objet d’une live session tournée au milieu des araucarias.
Après avoir travaillé sur de nombreux projets au théâtre et en poésie, Jérôme Paque, musicien autodidacte, se mue pour la première fois en singer-songwriter. Il nous emmène dans ses paysages intérieurs doux-amers où cohabitent illusions perdues, impuissance face aux événements lointains mais qui pourtant nous
affectent et autres écrans de fumée, sur le chemin sinueux qui sépare le rêve de
la réalité.
Désespoir des singes, l’arbre qui cache la forêt.
L’artiste fait ses premières armes en 2024 au centre culturel de Dinant en ouverture de Bai Kamara Jr. Rejoint en 2025 par Raphaële Germser (basse-violon-chœurs) et Mathias Bressan (batterie), venu.e.s renforcer la proposition scénique, il travaille à la réalisation d’un premier EP à paraître la même année.
Désespoir des singes trouve ses racines dans la région de Dinant, souvenir d’enfance où Jérôme croisa la route de cet arbre aussi majestueux que tortueux. Un arbre qui fait figure de véritable symbole du projet : à première vue rêveur et aérien, mais si l’on tend l’oreille, plus sombre et acéré qu’il n’y paraît. En témoigne le premier single Shadows, fresque incandescente de l’état du monde et de ce que chacun.e choisit d’en faire. Diffusé sur les ondes de Classic 21 et BX1, le morceau a aussi fait l’objet d’une live session tournée au milieu des araucarias.
Après avoir travaillé sur de nombreux projets au théâtre et en poésie, Jérôme Paque, musicien autodidacte, se mue pour la première fois en singer-songwriter. Il nous emmène dans ses paysages intérieurs doux-amers où cohabitent illusions perdues, impuissance face aux événements lointains mais qui pourtant nous
affectent et autres écrans de fumée, sur le chemin sinueux qui sépare le rêve de
la réalité.
Désespoir des singes, l’arbre qui cache la forêt.