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court-circuit.band
Biographie
Edouard van Praet façonne son univers depuis maintenant trois ans. Trois années d'étrange fusion chimérique de styles : entre tradition et modernité, entre sourire et pleurs.
Le dandy trash inhale les vapeurs du rock n' roll pour les expirer en sons qui lui sont propres, ce que l'on pourrait appeler le jungian indie-pop-punk-electro-rock-paper-scissors alternatif ou, pour faire plus simple, l'anti-rock. Il explore la diversité des genres tout en exprimant son amour pour les mélodies pop.
Après deux EP ayant bien fait parler d'eux en Belgique, Edouard nous prépare son premier
album, la suite logique mais audacieuse de ses précédentes expérimentations ('Doors' en
2021, 'Cycles' en 2022), avec un chant en français plus présent. Il voit sa musique comme un immense terrain de jeu au cours duquel des guitares sont grattées, des synthétiseurs sont manipulés et des micros sont malmenés. Au final, on se retrouve avec une balade dont l'influence vient tout droit de Tom Waits et de Frank Sinatra ou un son gabber/trance dégénéré.
Sur scène, Edouard se déchaine, et ça, c'est une constance parmi ses contrastes. Accompagné de son band d'anti-rockeurs, il vous invite à boire la tasse et à vous abandonner à la transe.
Le dandy trash inhale les vapeurs du rock n' roll pour les expirer en sons qui lui sont propres, ce que l'on pourrait appeler le jungian indie-pop-punk-electro-rock-paper-scissors alternatif ou, pour faire plus simple, l'anti-rock. Il explore la diversité des genres tout en exprimant son amour pour les mélodies pop.
Après deux EP ayant bien fait parler d'eux en Belgique, Edouard nous prépare son premier
album, la suite logique mais audacieuse de ses précédentes expérimentations ('Doors' en
2021, 'Cycles' en 2022), avec un chant en français plus présent. Il voit sa musique comme un immense terrain de jeu au cours duquel des guitares sont grattées, des synthétiseurs sont manipulés et des micros sont malmenés. Au final, on se retrouve avec une balade dont l'influence vient tout droit de Tom Waits et de Frank Sinatra ou un son gabber/trance dégénéré.
Sur scène, Edouard se déchaine, et ça, c'est une constance parmi ses contrastes. Accompagné de son band d'anti-rockeurs, il vous invite à boire la tasse et à vous abandonner à la transe.
Biographie
Edouard van Praet façonne son univers depuis maintenant trois ans. Trois années d'étrange fusion chimérique de styles : entre tradition et modernité, entre sourire et pleurs.
Le dandy trash inhale les vapeurs du rock n' roll pour les expirer en sons qui lui sont propres, ce que l'on pourrait appeler le jungian indie-pop-punk-electro-rock-paper-scissors alternatif ou, pour faire plus simple, l'anti-rock. Il explore la diversité des genres tout en exprimant son amour pour les mélodies pop.
Après deux EP ayant bien fait parler d'eux en Belgique, Edouard nous prépare son premier
album, la suite logique mais audacieuse de ses précédentes expérimentations ('Doors' en
2021, 'Cycles' en 2022), avec un chant en français plus présent. Il voit sa musique comme un immense terrain de jeu au cours duquel des guitares sont grattées, des synthétiseurs sont manipulés et des micros sont malmenés. Au final, on se retrouve avec une balade dont l'influence vient tout droit de Tom Waits et de Frank Sinatra ou un son gabber/trance dégénéré.
Sur scène, Edouard se déchaine, et ça, c'est une constance parmi ses contrastes. Accompagné de son band d'anti-rockeurs, il vous invite à boire la tasse et à vous abandonner à la transe.
Le dandy trash inhale les vapeurs du rock n' roll pour les expirer en sons qui lui sont propres, ce que l'on pourrait appeler le jungian indie-pop-punk-electro-rock-paper-scissors alternatif ou, pour faire plus simple, l'anti-rock. Il explore la diversité des genres tout en exprimant son amour pour les mélodies pop.
Après deux EP ayant bien fait parler d'eux en Belgique, Edouard nous prépare son premier
album, la suite logique mais audacieuse de ses précédentes expérimentations ('Doors' en
2021, 'Cycles' en 2022), avec un chant en français plus présent. Il voit sa musique comme un immense terrain de jeu au cours duquel des guitares sont grattées, des synthétiseurs sont manipulés et des micros sont malmenés. Au final, on se retrouve avec une balade dont l'influence vient tout droit de Tom Waits et de Frank Sinatra ou un son gabber/trance dégénéré.
Sur scène, Edouard se déchaine, et ça, c'est une constance parmi ses contrastes. Accompagné de son band d'anti-rockeurs, il vous invite à boire la tasse et à vous abandonner à la transe.