À propos
FRAGILE
Après leur premier EP "…About Going Home" sorti en juin 2023 et une cinquantaine de dates à travers la France et l’Europe, Fragile revient cet automne avec leur premier album “Big Big Smile”.
En 10 morceaux, le groupe invoque les spectres du punk rock et de l’emo 90’s/2000 avec cet irrésistible sens du refrain et des sing-alongs. Mais qu’on ne s’y trompe pas, Fragile s’inscrit bien dans cette nouvelle génération, celle qui n’hésite pas à nuancer l’efficacité de ses riffs et de ses sonorités par quelques touches héritées du shoegaze, voire de la new wave.
STONKSStonks trace une ligne tendue entre post-punk nerveux, noise en clair-obscur et jazz déconstruit. Grincements, textures saturées, et compositions où l’absurde se frotte à l’angoisse.Quelque chose d’instable, qui oscille entre urgence et détachement, et glisse vers la tension physique et les réflexions floues. La désinvolture flotte sur un fond plus trouble, comme un sourire qui masque la crampe.Avec Badger, deuxième EP sorti chez EXAG’ Records, le groupe pousse plus loin cette esthétique mouvante pour gagner en intensité, faire vibrer les corps autant que les nerfs, et détourner les codes d’un post-punk trop figé pour y injecter du mouvement, du groove, de l’élan. Pas de grands discours, juste une envie : faire du bruit qui donne envie de bouger.
À propos
FRAGILE
Après leur premier EP "…About Going Home" sorti en juin 2023 et une cinquantaine de dates à travers la France et l’Europe, Fragile revient cet automne avec leur premier album “Big Big Smile”.
En 10 morceaux, le groupe invoque les spectres du punk rock et de l’emo 90’s/2000 avec cet irrésistible sens du refrain et des sing-alongs. Mais qu’on ne s’y trompe pas, Fragile s’inscrit bien dans cette nouvelle génération, celle qui n’hésite pas à nuancer l’efficacité de ses riffs et de ses sonorités par quelques touches héritées du shoegaze, voire de la new wave.
STONKSStonks trace une ligne tendue entre post-punk nerveux, noise en clair-obscur et jazz déconstruit. Grincements, textures saturées, et compositions où l’absurde se frotte à l’angoisse.Quelque chose d’instable, qui oscille entre urgence et détachement, et glisse vers la tension physique et les réflexions floues. La désinvolture flotte sur un fond plus trouble, comme un sourire qui masque la crampe.Avec Badger, deuxième EP sorti chez EXAG’ Records, le groupe pousse plus loin cette esthétique mouvante pour gagner en intensité, faire vibrer les corps autant que les nerfs, et détourner les codes d’un post-punk trop figé pour y injecter du mouvement, du groove, de l’élan. Pas de grands discours, juste une envie : faire du bruit qui donne envie de bouger.