Biographie
1999-2019. Vingt ans, depuis le premier album "Feuded".
Vingt ans que Sharko nous distille des petits tubes chéris, tels"Spotlite",
"Sweet Protection", "I Went Down" ou encore le magnifique "Never".
Vive le huitième album "Glucose"! Vive ce qui semble être le début
d'un nouveau cycle! Et vive les nouveaux "Torches", "Finished" et
"Found" (déjà des classiques, s'il est trop tôt pour l'affirmer, on le
pense très fort!). Un album électro-pop aéré, enjoué de douze titres et illuminé de quelques collaborations. David Bartholomé - leader derrière Sharko - nous éclaire:
"Je reviens de loin. L'album "rock" de 2016 ("You Don't Have To
Worry") avait reçu un accueil sans ferveur. J'étais autant dans l'air du
temps qu'une Atari ST ou qu'un magasin Bata." Frustré mais vaillant, David se lance alors dans une série de concerts
à domicile:
"Une dynamique folle. Je vibrais comme un smartphone sous vitamine
C; tous ces concerts, ces hôtes, cette base dormante de fans qui se
réveillait et embrassait le projet avec joie. Les énergies recyclées, remis
sur orbite, je me suis surpris à composer au synthé des thèmes
sommaires, mais joyeux plus que jamais."
Le producteur Luuk Cox entend les démos et s'enthousiasme:
"À ses côtés, j'avais l'impression d'avoir inventé le hand-spinner ou un
vaccin rare; son excitation me boostait. Nous avons vite établi des
séances de travail au studio ICP de Bruxelles. Si les chansons se voulaient simples, "scolaires", nous voulions les
habiller d'un son plus moderne, tout en respectant l'économie des
démos: un clavier bien mis, un beat, une voix. Nous avons sondé et
fouillé les sous-sols de l'ICP pour les plus vieux synthés, ceux qui ont au
moins mon âge, d'obscures boites à rythmes vintage pures et dures
ainsi que des modulaires bien lourds avec des dizaines de câbles à
négocier."
Vingt ans que Sharko nous distille des petits tubes chéris, tels"Spotlite",
"Sweet Protection", "I Went Down" ou encore le magnifique "Never".
Vive le huitième album "Glucose"! Vive ce qui semble être le début
d'un nouveau cycle! Et vive les nouveaux "Torches", "Finished" et
"Found" (déjà des classiques, s'il est trop tôt pour l'affirmer, on le
pense très fort!). Un album électro-pop aéré, enjoué de douze titres et illuminé de quelques collaborations. David Bartholomé - leader derrière Sharko - nous éclaire:
"Je reviens de loin. L'album "rock" de 2016 ("You Don't Have To
Worry") avait reçu un accueil sans ferveur. J'étais autant dans l'air du
temps qu'une Atari ST ou qu'un magasin Bata." Frustré mais vaillant, David se lance alors dans une série de concerts
à domicile:
"Une dynamique folle. Je vibrais comme un smartphone sous vitamine
C; tous ces concerts, ces hôtes, cette base dormante de fans qui se
réveillait et embrassait le projet avec joie. Les énergies recyclées, remis
sur orbite, je me suis surpris à composer au synthé des thèmes
sommaires, mais joyeux plus que jamais."
Le producteur Luuk Cox entend les démos et s'enthousiasme:
"À ses côtés, j'avais l'impression d'avoir inventé le hand-spinner ou un
vaccin rare; son excitation me boostait. Nous avons vite établi des
séances de travail au studio ICP de Bruxelles. Si les chansons se voulaient simples, "scolaires", nous voulions les
habiller d'un son plus moderne, tout en respectant l'économie des
démos: un clavier bien mis, un beat, une voix. Nous avons sondé et
fouillé les sous-sols de l'ICP pour les plus vieux synthés, ceux qui ont au
moins mon âge, d'obscures boites à rythmes vintage pures et dures
ainsi que des modulaires bien lourds avec des dizaines de câbles à
négocier."
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Biographie
1999-2019. Vingt ans, depuis le premier album "Feuded".
Vingt ans que Sharko nous distille des petits tubes chéris, tels"Spotlite",
"Sweet Protection", "I Went Down" ou encore le magnifique "Never".
Vive le huitième album "Glucose"! Vive ce qui semble être le début
d'un nouveau cycle! Et vive les nouveaux "Torches", "Finished" et
"Found" (déjà des classiques, s'il est trop tôt pour l'affirmer, on le
pense très fort!). Un album électro-pop aéré, enjoué de douze titres et illuminé de quelques collaborations. David Bartholomé - leader derrière Sharko - nous éclaire:
"Je reviens de loin. L'album "rock" de 2016 ("You Don't Have To
Worry") avait reçu un accueil sans ferveur. J'étais autant dans l'air du
temps qu'une Atari ST ou qu'un magasin Bata." Frustré mais vaillant, David se lance alors dans une série de concerts
à domicile:
"Une dynamique folle. Je vibrais comme un smartphone sous vitamine
C; tous ces concerts, ces hôtes, cette base dormante de fans qui se
réveillait et embrassait le projet avec joie. Les énergies recyclées, remis
sur orbite, je me suis surpris à composer au synthé des thèmes
sommaires, mais joyeux plus que jamais."
Le producteur Luuk Cox entend les démos et s'enthousiasme:
"À ses côtés, j'avais l'impression d'avoir inventé le hand-spinner ou un
vaccin rare; son excitation me boostait. Nous avons vite établi des
séances de travail au studio ICP de Bruxelles. Si les chansons se voulaient simples, "scolaires", nous voulions les
habiller d'un son plus moderne, tout en respectant l'économie des
démos: un clavier bien mis, un beat, une voix. Nous avons sondé et
fouillé les sous-sols de l'ICP pour les plus vieux synthés, ceux qui ont au
moins mon âge, d'obscures boites à rythmes vintage pures et dures
ainsi que des modulaires bien lourds avec des dizaines de câbles à
négocier."
Vingt ans que Sharko nous distille des petits tubes chéris, tels"Spotlite",
"Sweet Protection", "I Went Down" ou encore le magnifique "Never".
Vive le huitième album "Glucose"! Vive ce qui semble être le début
d'un nouveau cycle! Et vive les nouveaux "Torches", "Finished" et
"Found" (déjà des classiques, s'il est trop tôt pour l'affirmer, on le
pense très fort!). Un album électro-pop aéré, enjoué de douze titres et illuminé de quelques collaborations. David Bartholomé - leader derrière Sharko - nous éclaire:
"Je reviens de loin. L'album "rock" de 2016 ("You Don't Have To
Worry") avait reçu un accueil sans ferveur. J'étais autant dans l'air du
temps qu'une Atari ST ou qu'un magasin Bata." Frustré mais vaillant, David se lance alors dans une série de concerts
à domicile:
"Une dynamique folle. Je vibrais comme un smartphone sous vitamine
C; tous ces concerts, ces hôtes, cette base dormante de fans qui se
réveillait et embrassait le projet avec joie. Les énergies recyclées, remis
sur orbite, je me suis surpris à composer au synthé des thèmes
sommaires, mais joyeux plus que jamais."
Le producteur Luuk Cox entend les démos et s'enthousiasme:
"À ses côtés, j'avais l'impression d'avoir inventé le hand-spinner ou un
vaccin rare; son excitation me boostait. Nous avons vite établi des
séances de travail au studio ICP de Bruxelles. Si les chansons se voulaient simples, "scolaires", nous voulions les
habiller d'un son plus moderne, tout en respectant l'économie des
démos: un clavier bien mis, un beat, une voix. Nous avons sondé et
fouillé les sous-sols de l'ICP pour les plus vieux synthés, ceux qui ont au
moins mon âge, d'obscures boites à rythmes vintage pures et dures
ainsi que des modulaires bien lourds avec des dizaines de câbles à
négocier."