Entre lyrisme poétique et mélodies oniriques, la new-yorkaise infuse sa pop ambiante de folk

Connue pour sa pop ambiante influencée par le folk, Cassandra Jenkins a fait beaucoup de choses depuis son dernier album « An Overview On Phenomenal Nature » (2021) : les choeurs sur « Rock Bottom » de Kevin Morby, le chant sur « In The Thick Of It » de Will Sheff, un EP d’improvisation avec Suhail Yusuf Khan, entre autres. Aujourd’hui, la musicienne new-yorkaise annonce la sortie d’un troisième album intitulé « My Light, My Destroyer », signé sur le nouveau label de Jenkins, Dead Oceans (Mitski, Phoebe Bridgers, etc.).

Avec le single « Only One », premier extrait de ce nouvel album, les paysages sonores oniriques prennent la forme d’un lit moelleux de synthétiseurs accompagné d’une tapisserie de sons analogiques et numériques, annonçant une palette sonore plus large que jamais. Entre lyrisme poétique et enregistrements sur le terrain, Jenkins invoque à nouveau la magie qui a fait d’elle une artiste à suivre.