hot garbage
À propos
Du rock enveloppé de post-punk, hypnotique et introspectif
Hot Garbage, un groupe de rock originaire de Toronto et fondé en 2015, sait y faire dans le genre immersif. S'inspirant des rythmes entraînants du post-punk et du krautrock, Hot Garbage intègre harmonieusement des mélodies brillantes à des arrangements sombres et obsédants. Hypnotique, tentaculaire, Hot Garbage revient avec « Precious Dream », un album qui offre un nouveau souffle dans le monde du post-punk et du psychédélisme moderne, dans une expérience d'écoute à la fois cathartique et introspective.
Le groupe a eu l'occasion de donner des concerts à travers le monde, lors de nombreux festivals mais aussi en tournée avec L.A Witch et Frankie & The Witch Fingers. Ils ont également partagé la scène avec Osees, Ty Segall, JJUUJJUU, Mdou Moctar, Wand, Kikagaku Moyo et Dead Meadow. Après les avoir vus en concert, Ben Lemieux de Quip Magazine conclut que « le groupe comprend les attentes implicites du genre, trouvant un équilibre parfait entre la qualité vocale vaporeuse des premiers shoegaze et la pyrotechnie des guitares emblématiques des rockers des années 60 et 70.
Line-up
Line-up
À propos
Du rock enveloppé de post-punk, hypnotique et introspectif
Hot Garbage, un groupe de rock originaire de Toronto et fondé en 2015, sait y faire dans le genre immersif. S'inspirant des rythmes entraînants du post-punk et du krautrock, Hot Garbage intègre harmonieusement des mélodies brillantes à des arrangements sombres et obsédants. Hypnotique, tentaculaire, Hot Garbage revient avec « Precious Dream », un album qui offre un nouveau souffle dans le monde du post-punk et du psychédélisme moderne, dans une expérience d'écoute à la fois cathartique et introspective.
Le groupe a eu l'occasion de donner des concerts à travers le monde, lors de nombreux festivals mais aussi en tournée avec L.A Witch et Frankie & The Witch Fingers. Ils ont également partagé la scène avec Osees, Ty Segall, JJUUJJUU, Mdou Moctar, Wand, Kikagaku Moyo et Dead Meadow. Après les avoir vus en concert, Ben Lemieux de Quip Magazine conclut que « le groupe comprend les attentes implicites du genre, trouvant un équilibre parfait entre la qualité vocale vaporeuse des premiers shoegaze et la pyrotechnie des guitares emblématiques des rockers des années 60 et 70.
