À propos
Seismic repense l’espace musical, où le son se déploie comme une force physique, presque tectonique. Sept interprètes envahissent progressivement le champ sonore, sculptant ce que Maria W. Horn – qui compose et interprète une œuvre inédite spécialement pour ce projet avec Ictus – appelle des “monolithes sonores”. Ici, la lenteur n’est pas sérénité : elle est tension, rituel, et dévoilement des fractures cachées au sein même du son.
Seismic dissout les frontières entre disciplines : le mouvement devient son, le son se transforme en arts visuels, et la lumière reconfigure la perception. L’espace du concert lui-même se mue en un terrain instable, où les textures profondes de la musique – stratifiées, mouvantes, imprévisibles – révèlent leur nature sismique. Son, lumière et mouvement ne coexistent pas simplement : ils fusionnent en une matière unique et fluctuante, formant un paysage de transformation continue.
Au fil de la performance, le public est enveloppé dans un espace de désorientation et de renouveau, où la perception oscille entre présence et dissolution, structure et effondrement. Seismic ne s’écoute pas seulement – il s’habite. C’est un écosystème sonore et visuel en perpétuelle mutation, où le sens ne réside pas dans une structure figée mais émerge dans l’instant présent, dans la confrontation immédiate du son, de l’espace, des interprètes et des spectateurs.
Line-up
Line-up
À propos
Seismic repense l’espace musical, où le son se déploie comme une force physique, presque tectonique. Sept interprètes envahissent progressivement le champ sonore, sculptant ce que Maria W. Horn – qui compose et interprète une œuvre inédite spécialement pour ce projet avec Ictus – appelle des “monolithes sonores”. Ici, la lenteur n’est pas sérénité : elle est tension, rituel, et dévoilement des fractures cachées au sein même du son.
Seismic dissout les frontières entre disciplines : le mouvement devient son, le son se transforme en arts visuels, et la lumière reconfigure la perception. L’espace du concert lui-même se mue en un terrain instable, où les textures profondes de la musique – stratifiées, mouvantes, imprévisibles – révèlent leur nature sismique. Son, lumière et mouvement ne coexistent pas simplement : ils fusionnent en une matière unique et fluctuante, formant un paysage de transformation continue.
Au fil de la performance, le public est enveloppé dans un espace de désorientation et de renouveau, où la perception oscille entre présence et dissolution, structure et effondrement. Seismic ne s’écoute pas seulement – il s’habite. C’est un écosystème sonore et visuel en perpétuelle mutation, où le sens ne réside pas dans une structure figée mais émerge dans l’instant présent, dans la confrontation immédiate du son, de l’espace, des interprètes et des spectateurs.