Biographie
Originaire de l’Ardenne belge, Mélanie Isaac a posé piano et guitare à Bruxelles il y a une décennie. Elle évolue alors au sein de différentes formations où elle écrit, compose et interprète, et remporte en 2012 la Biennale de la Chanson Française (Le parcours Francofaune de l’époque) au Cirque Royal.
Aujourd’hui, elle présente avec élégance et délicatesse, un nouvel EP « L’Inachevée » enregistré à distance entre Manchester et Gand, avec l’aide de James Doviak (Johnny Marr, The Smiths), Reinhard Vanbergen (Das Pop, The Van Jets) et Franck Baya (Françoiz Breut, Saule).
Ses chansons réalisent un croisement entre la variété française des années septante chère à Véronique Sanson et la pop coquette et raffinée de Lana Del Rey. Ou Barbara qui embrasserait Dominique A à la commissure des lèvres avant de lui murmurer dans le creux de l’oreille un vénéneux « Kill me soflty ».
Mélanie Isaac, c’est aussi des textures cinématographiques et autres architectures sonores entêtantes et hypnotiques. On en imaginerait presque le David Lynch de « Blue Velvet» boire des cafés, fumer des clopes avec le Godard d’ « A bout de souffle » et parler de la vie, de la mort, de l’amour, du temps qui passe et de la place de tout un chacun sur cette planète devenue folle. Fort d’un univers pourtant classique, elle possède cette personnalité singulière, cette voix feutrée, mais aussi ce sens inné pour les mélodies mémorisables.
Les compositions intemporelles habitées par sa voix souple, profonde, troublante et fiévreuse tournent autour de l’absence, du vide, de la perte mais avec ce soupçon de pudeur qui fait la différence. Un peu comme un rayon de soleil en guise de joli pied de nez après un orage où les éclairs agrafent un ciel noir et tourmenté.
Aujourd’hui, elle présente avec élégance et délicatesse, un nouvel EP « L’Inachevée » enregistré à distance entre Manchester et Gand, avec l’aide de James Doviak (Johnny Marr, The Smiths), Reinhard Vanbergen (Das Pop, The Van Jets) et Franck Baya (Françoiz Breut, Saule).
Ses chansons réalisent un croisement entre la variété française des années septante chère à Véronique Sanson et la pop coquette et raffinée de Lana Del Rey. Ou Barbara qui embrasserait Dominique A à la commissure des lèvres avant de lui murmurer dans le creux de l’oreille un vénéneux « Kill me soflty ».
Mélanie Isaac, c’est aussi des textures cinématographiques et autres architectures sonores entêtantes et hypnotiques. On en imaginerait presque le David Lynch de « Blue Velvet» boire des cafés, fumer des clopes avec le Godard d’ « A bout de souffle » et parler de la vie, de la mort, de l’amour, du temps qui passe et de la place de tout un chacun sur cette planète devenue folle. Fort d’un univers pourtant classique, elle possède cette personnalité singulière, cette voix feutrée, mais aussi ce sens inné pour les mélodies mémorisables.
Les compositions intemporelles habitées par sa voix souple, profonde, troublante et fiévreuse tournent autour de l’absence, du vide, de la perte mais avec ce soupçon de pudeur qui fait la différence. Un peu comme un rayon de soleil en guise de joli pied de nez après un orage où les éclairs agrafent un ciel noir et tourmenté.
Biographie
Originaire de l’Ardenne belge, Mélanie Isaac a posé piano et guitare à Bruxelles il y a une décennie. Elle évolue alors au sein de différentes formations où elle écrit, compose et interprète, et remporte en 2012 la Biennale de la Chanson Française (Le parcours Francofaune de l’époque) au Cirque Royal.
Aujourd’hui, elle présente avec élégance et délicatesse, un nouvel EP « L’Inachevée » enregistré à distance entre Manchester et Gand, avec l’aide de James Doviak (Johnny Marr, The Smiths), Reinhard Vanbergen (Das Pop, The Van Jets) et Franck Baya (Françoiz Breut, Saule).
Ses chansons réalisent un croisement entre la variété française des années septante chère à Véronique Sanson et la pop coquette et raffinée de Lana Del Rey. Ou Barbara qui embrasserait Dominique A à la commissure des lèvres avant de lui murmurer dans le creux de l’oreille un vénéneux « Kill me soflty ».
Mélanie Isaac, c’est aussi des textures cinématographiques et autres architectures sonores entêtantes et hypnotiques. On en imaginerait presque le David Lynch de « Blue Velvet» boire des cafés, fumer des clopes avec le Godard d’ « A bout de souffle » et parler de la vie, de la mort, de l’amour, du temps qui passe et de la place de tout un chacun sur cette planète devenue folle. Fort d’un univers pourtant classique, elle possède cette personnalité singulière, cette voix feutrée, mais aussi ce sens inné pour les mélodies mémorisables.
Les compositions intemporelles habitées par sa voix souple, profonde, troublante et fiévreuse tournent autour de l’absence, du vide, de la perte mais avec ce soupçon de pudeur qui fait la différence. Un peu comme un rayon de soleil en guise de joli pied de nez après un orage où les éclairs agrafent un ciel noir et tourmenté.
Aujourd’hui, elle présente avec élégance et délicatesse, un nouvel EP « L’Inachevée » enregistré à distance entre Manchester et Gand, avec l’aide de James Doviak (Johnny Marr, The Smiths), Reinhard Vanbergen (Das Pop, The Van Jets) et Franck Baya (Françoiz Breut, Saule).
Ses chansons réalisent un croisement entre la variété française des années septante chère à Véronique Sanson et la pop coquette et raffinée de Lana Del Rey. Ou Barbara qui embrasserait Dominique A à la commissure des lèvres avant de lui murmurer dans le creux de l’oreille un vénéneux « Kill me soflty ».
Mélanie Isaac, c’est aussi des textures cinématographiques et autres architectures sonores entêtantes et hypnotiques. On en imaginerait presque le David Lynch de « Blue Velvet» boire des cafés, fumer des clopes avec le Godard d’ « A bout de souffle » et parler de la vie, de la mort, de l’amour, du temps qui passe et de la place de tout un chacun sur cette planète devenue folle. Fort d’un univers pourtant classique, elle possède cette personnalité singulière, cette voix feutrée, mais aussi ce sens inné pour les mélodies mémorisables.
Les compositions intemporelles habitées par sa voix souple, profonde, troublante et fiévreuse tournent autour de l’absence, du vide, de la perte mais avec ce soupçon de pudeur qui fait la différence. Un peu comme un rayon de soleil en guise de joli pied de nez après un orage où les éclairs agrafent un ciel noir et tourmenté.