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court-circuit.band
Biographie
Le groupe a vu le jour dans les premiers mois de 2021, bien que les membres qui composent le quartet se connaissaient depuis de nombreuses années. Le besoin d’un retour au pur jazz acoustique accompagné d’une certaine fraîcheur s’est fait ressentir. Très vite, l’intérêt fut palpable car le quartet jouait déjà au Tournai Jazz Festival, Dinant Jazz Festival, à Mazy (Jazz9) et à la Jazz Station. Le groupe est ensuite rentré en studio en 2022.
Le grand batteur Darren Beckett remplacera Dré Pallemaerts pendant la tournée.
Le descriptif du projet
Répertoire, style de jazz, spécificités de votre projet, jeu et musique présentées…
« Le mot d’ordre est, à n’en pas douter : jazz, jazz, jazz ! Ce jazz qu’apprécie particulièrement le saxophoniste (et tout amateur qui se respecte). Ce jazz qui swingue, qui bebop et hard bop, celui qui balance, qui échange, qui s’amuse, qui permet à chaque musicien de s’exprimer sans entrave, de prendre le large et d’inventer de beaux solos en toute confiance.
Il faut souligner dès lors le talent qu’a Stéphane Mercier à écrire des thèmes pour ses musiciens – pour ses amis – et le bonheur qu’il a à les entendre les développer eux-mêmes. Si ce n’est pas ça la tradition, qu’est-ce d’autre ? Mais pour cela, il faut aussi trouver les bons partenaires qui vont créer, tordre, malaxer et réinventer cette matière première. Avec la bande qu’il a réuni, Mercier joue sur du velours. D’ailleurs, ça ne tarde pas à fuser de tous les côtés. Chacun ajoute une pièce à l’édifice, avec autant de générosité que de gourmandise.
Nicola Andrioli met vite le feu aux poudres. Son jeu est délirant, vif et foisonnant. Sa main gauche est aussi mobile et indépendante que la droite. Il n’hésite jamais à sortir des sentiers battus et enchaîne chorus sur chorus, attisé par le jeu presque sauvage de Dré Pallemaerts. L’interaction entre ces deux-là est magique. Le plaisir est palpable et se lit sur leur visage. Clins d’œil, encouragements, défis, surprises : tout y passe. Le batteur est bouillonnant, le pianiste explosif. De son côté Nic Thys rattache les wagons pour encore mieux relancer la machine. On sent, chez lui aussi, l’envie de tirer l’ensemble toujours plus vers le haut. Le jeu est précis, déterminé, extrêmement volubile et toujours inventif.
Les morceaux s’enchaînent avec la même énergie et une excitation grandissante. On dirait des standards connus de tous tellement les échanges sont fluides ! Pourtant il n’en est rien, c’est un matériau totalement original, rappelons-le. Et quand Stéphane Mercier introduit à la flûte, tout en sensibilité, un long thème, on croit entendre du Jaspar ou Herbie Mann. Du Coltrane peut-être aussi, surtout quand l’ensemble s’emballe, prend de la vitesse (rien ne peut l’arrêter) et explore tous les chemins possibles. Le quartette embarque avec lui un public qui en redemande. On se retrouve comme au bon vieux temps (et même celui d’avant), la confiance est là et tout est permis.
Une structure « simple », qui a déjà fait ses preuves et un traitement actuel : la recette est imparable. Cela fonctionne et cela fonctionnera toujours… surtout si les musiciens ont du talent.
Du jazz comme ça, on en redemande. » Jacques Prouvost
En invité exceptionnel pour remplacer Dré Pallemaerts : l’irlandais Darren Beckett. Batteur d’une longue carrière internationale, on a pu entendre Darren jouer dans des styles bien différents : avec Lee Konitz, Kenny Wheeler, Aaron Parks, Kurt Rosenwinkel mais aussi Ambulance Ltd, Brandon Flowers des Killers, Lauryn Hill, Sinead O’Connor et actuellement Van Morrison.
Le grand batteur Darren Beckett remplacera Dré Pallemaerts pendant la tournée.
Le descriptif du projet
Répertoire, style de jazz, spécificités de votre projet, jeu et musique présentées…
« Le mot d’ordre est, à n’en pas douter : jazz, jazz, jazz ! Ce jazz qu’apprécie particulièrement le saxophoniste (et tout amateur qui se respecte). Ce jazz qui swingue, qui bebop et hard bop, celui qui balance, qui échange, qui s’amuse, qui permet à chaque musicien de s’exprimer sans entrave, de prendre le large et d’inventer de beaux solos en toute confiance.
Il faut souligner dès lors le talent qu’a Stéphane Mercier à écrire des thèmes pour ses musiciens – pour ses amis – et le bonheur qu’il a à les entendre les développer eux-mêmes. Si ce n’est pas ça la tradition, qu’est-ce d’autre ? Mais pour cela, il faut aussi trouver les bons partenaires qui vont créer, tordre, malaxer et réinventer cette matière première. Avec la bande qu’il a réuni, Mercier joue sur du velours. D’ailleurs, ça ne tarde pas à fuser de tous les côtés. Chacun ajoute une pièce à l’édifice, avec autant de générosité que de gourmandise.
Nicola Andrioli met vite le feu aux poudres. Son jeu est délirant, vif et foisonnant. Sa main gauche est aussi mobile et indépendante que la droite. Il n’hésite jamais à sortir des sentiers battus et enchaîne chorus sur chorus, attisé par le jeu presque sauvage de Dré Pallemaerts. L’interaction entre ces deux-là est magique. Le plaisir est palpable et se lit sur leur visage. Clins d’œil, encouragements, défis, surprises : tout y passe. Le batteur est bouillonnant, le pianiste explosif. De son côté Nic Thys rattache les wagons pour encore mieux relancer la machine. On sent, chez lui aussi, l’envie de tirer l’ensemble toujours plus vers le haut. Le jeu est précis, déterminé, extrêmement volubile et toujours inventif.
Les morceaux s’enchaînent avec la même énergie et une excitation grandissante. On dirait des standards connus de tous tellement les échanges sont fluides ! Pourtant il n’en est rien, c’est un matériau totalement original, rappelons-le. Et quand Stéphane Mercier introduit à la flûte, tout en sensibilité, un long thème, on croit entendre du Jaspar ou Herbie Mann. Du Coltrane peut-être aussi, surtout quand l’ensemble s’emballe, prend de la vitesse (rien ne peut l’arrêter) et explore tous les chemins possibles. Le quartette embarque avec lui un public qui en redemande. On se retrouve comme au bon vieux temps (et même celui d’avant), la confiance est là et tout est permis.
Une structure « simple », qui a déjà fait ses preuves et un traitement actuel : la recette est imparable. Cela fonctionne et cela fonctionnera toujours… surtout si les musiciens ont du talent.
Du jazz comme ça, on en redemande. » Jacques Prouvost
En invité exceptionnel pour remplacer Dré Pallemaerts : l’irlandais Darren Beckett. Batteur d’une longue carrière internationale, on a pu entendre Darren jouer dans des styles bien différents : avec Lee Konitz, Kenny Wheeler, Aaron Parks, Kurt Rosenwinkel mais aussi Ambulance Ltd, Brandon Flowers des Killers, Lauryn Hill, Sinead O’Connor et actuellement Van Morrison.
Prochains concerts
Biographie
Le groupe a vu le jour dans les premiers mois de 2021, bien que les membres qui composent le quartet se connaissaient depuis de nombreuses années. Le besoin d’un retour au pur jazz acoustique accompagné d’une certaine fraîcheur s’est fait ressentir. Très vite, l’intérêt fut palpable car le quartet jouait déjà au Tournai Jazz Festival, Dinant Jazz Festival, à Mazy (Jazz9) et à la Jazz Station. Le groupe est ensuite rentré en studio en 2022.
Le grand batteur Darren Beckett remplacera Dré Pallemaerts pendant la tournée.
Le descriptif du projet
Répertoire, style de jazz, spécificités de votre projet, jeu et musique présentées…
« Le mot d’ordre est, à n’en pas douter : jazz, jazz, jazz ! Ce jazz qu’apprécie particulièrement le saxophoniste (et tout amateur qui se respecte). Ce jazz qui swingue, qui bebop et hard bop, celui qui balance, qui échange, qui s’amuse, qui permet à chaque musicien de s’exprimer sans entrave, de prendre le large et d’inventer de beaux solos en toute confiance.
Il faut souligner dès lors le talent qu’a Stéphane Mercier à écrire des thèmes pour ses musiciens – pour ses amis – et le bonheur qu’il a à les entendre les développer eux-mêmes. Si ce n’est pas ça la tradition, qu’est-ce d’autre ? Mais pour cela, il faut aussi trouver les bons partenaires qui vont créer, tordre, malaxer et réinventer cette matière première. Avec la bande qu’il a réuni, Mercier joue sur du velours. D’ailleurs, ça ne tarde pas à fuser de tous les côtés. Chacun ajoute une pièce à l’édifice, avec autant de générosité que de gourmandise.
Nicola Andrioli met vite le feu aux poudres. Son jeu est délirant, vif et foisonnant. Sa main gauche est aussi mobile et indépendante que la droite. Il n’hésite jamais à sortir des sentiers battus et enchaîne chorus sur chorus, attisé par le jeu presque sauvage de Dré Pallemaerts. L’interaction entre ces deux-là est magique. Le plaisir est palpable et se lit sur leur visage. Clins d’œil, encouragements, défis, surprises : tout y passe. Le batteur est bouillonnant, le pianiste explosif. De son côté Nic Thys rattache les wagons pour encore mieux relancer la machine. On sent, chez lui aussi, l’envie de tirer l’ensemble toujours plus vers le haut. Le jeu est précis, déterminé, extrêmement volubile et toujours inventif.
Les morceaux s’enchaînent avec la même énergie et une excitation grandissante. On dirait des standards connus de tous tellement les échanges sont fluides ! Pourtant il n’en est rien, c’est un matériau totalement original, rappelons-le. Et quand Stéphane Mercier introduit à la flûte, tout en sensibilité, un long thème, on croit entendre du Jaspar ou Herbie Mann. Du Coltrane peut-être aussi, surtout quand l’ensemble s’emballe, prend de la vitesse (rien ne peut l’arrêter) et explore tous les chemins possibles. Le quartette embarque avec lui un public qui en redemande. On se retrouve comme au bon vieux temps (et même celui d’avant), la confiance est là et tout est permis.
Une structure « simple », qui a déjà fait ses preuves et un traitement actuel : la recette est imparable. Cela fonctionne et cela fonctionnera toujours… surtout si les musiciens ont du talent.
Du jazz comme ça, on en redemande. » Jacques Prouvost
En invité exceptionnel pour remplacer Dré Pallemaerts : l’irlandais Darren Beckett. Batteur d’une longue carrière internationale, on a pu entendre Darren jouer dans des styles bien différents : avec Lee Konitz, Kenny Wheeler, Aaron Parks, Kurt Rosenwinkel mais aussi Ambulance Ltd, Brandon Flowers des Killers, Lauryn Hill, Sinead O’Connor et actuellement Van Morrison.
Le grand batteur Darren Beckett remplacera Dré Pallemaerts pendant la tournée.
Le descriptif du projet
Répertoire, style de jazz, spécificités de votre projet, jeu et musique présentées…
« Le mot d’ordre est, à n’en pas douter : jazz, jazz, jazz ! Ce jazz qu’apprécie particulièrement le saxophoniste (et tout amateur qui se respecte). Ce jazz qui swingue, qui bebop et hard bop, celui qui balance, qui échange, qui s’amuse, qui permet à chaque musicien de s’exprimer sans entrave, de prendre le large et d’inventer de beaux solos en toute confiance.
Il faut souligner dès lors le talent qu’a Stéphane Mercier à écrire des thèmes pour ses musiciens – pour ses amis – et le bonheur qu’il a à les entendre les développer eux-mêmes. Si ce n’est pas ça la tradition, qu’est-ce d’autre ? Mais pour cela, il faut aussi trouver les bons partenaires qui vont créer, tordre, malaxer et réinventer cette matière première. Avec la bande qu’il a réuni, Mercier joue sur du velours. D’ailleurs, ça ne tarde pas à fuser de tous les côtés. Chacun ajoute une pièce à l’édifice, avec autant de générosité que de gourmandise.
Nicola Andrioli met vite le feu aux poudres. Son jeu est délirant, vif et foisonnant. Sa main gauche est aussi mobile et indépendante que la droite. Il n’hésite jamais à sortir des sentiers battus et enchaîne chorus sur chorus, attisé par le jeu presque sauvage de Dré Pallemaerts. L’interaction entre ces deux-là est magique. Le plaisir est palpable et se lit sur leur visage. Clins d’œil, encouragements, défis, surprises : tout y passe. Le batteur est bouillonnant, le pianiste explosif. De son côté Nic Thys rattache les wagons pour encore mieux relancer la machine. On sent, chez lui aussi, l’envie de tirer l’ensemble toujours plus vers le haut. Le jeu est précis, déterminé, extrêmement volubile et toujours inventif.
Les morceaux s’enchaînent avec la même énergie et une excitation grandissante. On dirait des standards connus de tous tellement les échanges sont fluides ! Pourtant il n’en est rien, c’est un matériau totalement original, rappelons-le. Et quand Stéphane Mercier introduit à la flûte, tout en sensibilité, un long thème, on croit entendre du Jaspar ou Herbie Mann. Du Coltrane peut-être aussi, surtout quand l’ensemble s’emballe, prend de la vitesse (rien ne peut l’arrêter) et explore tous les chemins possibles. Le quartette embarque avec lui un public qui en redemande. On se retrouve comme au bon vieux temps (et même celui d’avant), la confiance est là et tout est permis.
Une structure « simple », qui a déjà fait ses preuves et un traitement actuel : la recette est imparable. Cela fonctionne et cela fonctionnera toujours… surtout si les musiciens ont du talent.
Du jazz comme ça, on en redemande. » Jacques Prouvost
En invité exceptionnel pour remplacer Dré Pallemaerts : l’irlandais Darren Beckett. Batteur d’une longue carrière internationale, on a pu entendre Darren jouer dans des styles bien différents : avec Lee Konitz, Kenny Wheeler, Aaron Parks, Kurt Rosenwinkel mais aussi Ambulance Ltd, Brandon Flowers des Killers, Lauryn Hill, Sinead O’Connor et actuellement Van Morrison.