Biographie
Nouveau projet tournaisien créé par Nervous des Mountain Bike et T.Raznor des Orghasmmond, très vite rejoint par Au tys, made in Japan et ensuite par le carolo Stephen O'Maltine (Duflan). Un synthé, une basse, une batterie. Des compos tombées d'un camion remontant l'autoroute du soleil à contre sens. Des saumons remontant la même autoroute, croisent le camion et reprennent le contrôle. On vit quand même une belle époque. ... à suivre.
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Il y a des groupes, comme ça, qui vous séduisent. Parce qu'on sent dans leurs prestations la joie d'en découdre avec le public, parce qu'on perçoit dans leurs chansons cette volonté de se renouveler tout en élaborant un univers radicalement personnel. Bayacomputer fait partie de ces groupes-là . Et c'est une fierté pour le label Rockerill Records d'héberger ce trio.
On ne va pas pérorer sur le style ou sur l'étiquette que l'on pourrait attribuer à Bayacomputer. On dira qu'on retrouve dans leur savant mélange des sonorités synthé vintage, une batterie folle et une basse solide et mélodique. Il y a de l'hommage spiritueux à la cold wave la plus primitive, au post-punk le plus débridé.
Ce cocktail où s'épousent les 2/3 de Spagguetta Orghasmmond et les quatre cordes d'Au Tys, fait rapidement monter l'alcool à la tête. En fait, il vous la met à l'envers brassant des influences multiples, maniant l'ironie mutine et la caricature salvatrice. C'est bon et direct. De la vraie matière à pogoter, le sourire aux lèvres, les yeux révulsés de bonheur.
Le premier 45 tours (« Stevie Smith »), sorti en 2016, était déjà un vrai poil à gratter pour les oreilles. Depuis, les fûts de Nerveux (Mountain Bike) ont été remplacés par ceux de Steph'O'Maltine, un changement qui n'altère en rien l'efficacité du band initié par T.Raznor.. « Discoglass » confirme nos attentes les plus folles, Bayacomputer est prêt nous faire danser encore longtemps.
By Dirk Weiss
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Il y a des groupes, comme ça, qui vous séduisent. Parce qu'on sent dans leurs prestations la joie d'en découdre avec le public, parce qu'on perçoit dans leurs chansons cette volonté de se renouveler tout en élaborant un univers radicalement personnel. Bayacomputer fait partie de ces groupes-là . Et c'est une fierté pour le label Rockerill Records d'héberger ce trio.
On ne va pas pérorer sur le style ou sur l'étiquette que l'on pourrait attribuer à Bayacomputer. On dira qu'on retrouve dans leur savant mélange des sonorités synthé vintage, une batterie folle et une basse solide et mélodique. Il y a de l'hommage spiritueux à la cold wave la plus primitive, au post-punk le plus débridé.
Ce cocktail où s'épousent les 2/3 de Spagguetta Orghasmmond et les quatre cordes d'Au Tys, fait rapidement monter l'alcool à la tête. En fait, il vous la met à l'envers brassant des influences multiples, maniant l'ironie mutine et la caricature salvatrice. C'est bon et direct. De la vraie matière à pogoter, le sourire aux lèvres, les yeux révulsés de bonheur.
Le premier 45 tours (« Stevie Smith »), sorti en 2016, était déjà un vrai poil à gratter pour les oreilles. Depuis, les fûts de Nerveux (Mountain Bike) ont été remplacés par ceux de Steph'O'Maltine, un changement qui n'altère en rien l'efficacité du band initié par T.Raznor.. « Discoglass » confirme nos attentes les plus folles, Bayacomputer est prêt nous faire danser encore longtemps.
By Dirk Weiss
Biographie
Nouveau projet tournaisien créé par Nervous des Mountain Bike et T.Raznor des Orghasmmond, très vite rejoint par Au tys, made in Japan et ensuite par le carolo Stephen O'Maltine (Duflan). Un synthé, une basse, une batterie. Des compos tombées d'un camion remontant l'autoroute du soleil à contre sens. Des saumons remontant la même autoroute, croisent le camion et reprennent le contrôle. On vit quand même une belle époque. ... à suivre.
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Il y a des groupes, comme ça, qui vous séduisent. Parce qu'on sent dans leurs prestations la joie d'en découdre avec le public, parce qu'on perçoit dans leurs chansons cette volonté de se renouveler tout en élaborant un univers radicalement personnel. Bayacomputer fait partie de ces groupes-là . Et c'est une fierté pour le label Rockerill Records d'héberger ce trio.
On ne va pas pérorer sur le style ou sur l'étiquette que l'on pourrait attribuer à Bayacomputer. On dira qu'on retrouve dans leur savant mélange des sonorités synthé vintage, une batterie folle et une basse solide et mélodique. Il y a de l'hommage spiritueux à la cold wave la plus primitive, au post-punk le plus débridé.
Ce cocktail où s'épousent les 2/3 de Spagguetta Orghasmmond et les quatre cordes d'Au Tys, fait rapidement monter l'alcool à la tête. En fait, il vous la met à l'envers brassant des influences multiples, maniant l'ironie mutine et la caricature salvatrice. C'est bon et direct. De la vraie matière à pogoter, le sourire aux lèvres, les yeux révulsés de bonheur.
Le premier 45 tours (« Stevie Smith »), sorti en 2016, était déjà un vrai poil à gratter pour les oreilles. Depuis, les fûts de Nerveux (Mountain Bike) ont été remplacés par ceux de Steph'O'Maltine, un changement qui n'altère en rien l'efficacité du band initié par T.Raznor.. « Discoglass » confirme nos attentes les plus folles, Bayacomputer est prêt nous faire danser encore longtemps.
By Dirk Weiss
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Il y a des groupes, comme ça, qui vous séduisent. Parce qu'on sent dans leurs prestations la joie d'en découdre avec le public, parce qu'on perçoit dans leurs chansons cette volonté de se renouveler tout en élaborant un univers radicalement personnel. Bayacomputer fait partie de ces groupes-là . Et c'est une fierté pour le label Rockerill Records d'héberger ce trio.
On ne va pas pérorer sur le style ou sur l'étiquette que l'on pourrait attribuer à Bayacomputer. On dira qu'on retrouve dans leur savant mélange des sonorités synthé vintage, une batterie folle et une basse solide et mélodique. Il y a de l'hommage spiritueux à la cold wave la plus primitive, au post-punk le plus débridé.
Ce cocktail où s'épousent les 2/3 de Spagguetta Orghasmmond et les quatre cordes d'Au Tys, fait rapidement monter l'alcool à la tête. En fait, il vous la met à l'envers brassant des influences multiples, maniant l'ironie mutine et la caricature salvatrice. C'est bon et direct. De la vraie matière à pogoter, le sourire aux lèvres, les yeux révulsés de bonheur.
Le premier 45 tours (« Stevie Smith »), sorti en 2016, était déjà un vrai poil à gratter pour les oreilles. Depuis, les fûts de Nerveux (Mountain Bike) ont été remplacés par ceux de Steph'O'Maltine, un changement qui n'altère en rien l'efficacité du band initié par T.Raznor.. « Discoglass » confirme nos attentes les plus folles, Bayacomputer est prêt nous faire danser encore longtemps.
By Dirk Weiss