Biographie
Près de cinq ans depuis leur dernier album, les habitants de Leeds, AUTOBAHN, reviennent à la charge avec la sortie de leur troisième album, Ecstasy of Ruin. On y retrouve de nombreux signes distinctifs de leur mélange caractéristique de post-punk industriel, qui s'inscrit dans la longue tradition de la musique crépusculaire émanant du nord de la Grande-Bretagne. Avec une base rythmique qui émane désormais de boites à rythmes, le groupe opère une opération plus proche de l'EBM, avec une esthétique noircie.
La musique est implacablement tendue et laconique, reflétant ainsi les diverses vicissitudes du capitalisme tardif. Le chant du leader Craig Johnson est invariablement intense, bien que les paroles fassent des allusions répétées à la beauté, à l'autonomisation et à l'amour de la vie, à la responsabilisation et, ostensiblement, à l'espoir. Le titre de l'album est donc instructif. Il y a une sorte de bonheur dans tout ce désordre.
Biographie
Près de cinq ans depuis leur dernier album, les habitants de Leeds, AUTOBAHN, reviennent à la charge avec la sortie de leur troisième album, Ecstasy of Ruin. On y retrouve de nombreux signes distinctifs de leur mélange caractéristique de post-punk industriel, qui s'inscrit dans la longue tradition de la musique crépusculaire émanant du nord de la Grande-Bretagne. Avec une base rythmique qui émane désormais de boites à rythmes, le groupe opère une opération plus proche de l'EBM, avec une esthétique noircie.
La musique est implacablement tendue et laconique, reflétant ainsi les diverses vicissitudes du capitalisme tardif. Le chant du leader Craig Johnson est invariablement intense, bien que les paroles fassent des allusions répétées à la beauté, à l'autonomisation et à l'amour de la vie, à la responsabilisation et, ostensiblement, à l'espoir. Le titre de l'album est donc instructif. Il y a une sorte de bonheur dans tout ce désordre.