Biographie
Fùgù Mango est la preuve que l’époque n’est pas à la défiance ni au repli sur soi. Depuis Bruxelles, le combo chimiste assemble et brasse ses mélodies aux pulsations africaines. Les scènes et festivals qu’ils ont écumés résonnent encore des coups de boutoir de « Mango Chicks », premier EP paru en 2016. Mais, à son ADN dansant et exalté, se greffent désormais des pampilles électro et des résurgences eighties pour un ensemble riche, nuancé et subtil qui ne sacrifie plus tout au rythme et à la transe.
Le titre « Alien Love », qui prête son nom au nouvel album, donne le ton d’un ouvrage où la mélancolie répond à la syncope rythmique, où les timbres fragiles - tantôt de Vince, tantôt d’Anne – disent le désenchantement urbain autant que l’espoir d’un ailleurs. Les voix s’y complètent dans de sublimes harmonies qui invoquent parfois le binôme de The XX.
Biographie
Fùgù Mango est la preuve que l’époque n’est pas à la défiance ni au repli sur soi. Depuis Bruxelles, le combo chimiste assemble et brasse ses mélodies aux pulsations africaines. Les scènes et festivals qu’ils ont écumés résonnent encore des coups de boutoir de « Mango Chicks », premier EP paru en 2016. Mais, à son ADN dansant et exalté, se greffent désormais des pampilles électro et des résurgences eighties pour un ensemble riche, nuancé et subtil qui ne sacrifie plus tout au rythme et à la transe.
Le titre « Alien Love », qui prête son nom au nouvel album, donne le ton d’un ouvrage où la mélancolie répond à la syncope rythmique, où les timbres fragiles - tantôt de Vince, tantôt d’Anne – disent le désenchantement urbain autant que l’espoir d’un ailleurs. Les voix s’y complètent dans de sublimes harmonies qui invoquent parfois le binôme de The XX.