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court-circuit.band
Biographie
Avec sa voix force et velours, Gabrielle Verleyen réconcilie l'indie-folk et la
pop à texte française. Dans un univers sonore sans bord, mélancolie et
sérénité se côtoient pour offrir un paysage intime et lumineux.
Cette ex-timide découvre à 20 ans bien passés sa voix comme un passeport, voix
qu'elle réservait jusqu'alors pour les murs rassurants de la maison familiale. Un
diplôme de Langues et Littératures Romanes en poche, elle s'échappe à Rotterdam
pour y intégrer un conservatoire de musiques du monde. Et c'est son propre univers qu'elle se crée, fait de vécus personnels et d'influences (pop-folk, indierock et musique indienne). De ce séjour, il reste des expériences, douloureuses parfois, qu'elle évoque en anglais par respect pour la langue de celles-ci. Mais quand les choses se vivent ici, c'est en français qu'elle ose les dire. En 2018 elle remet le cap sur Bruxelles, avec quelques compos en poche et beaucoup de
tristesse liée à ce départ. C'est sur ce terreau nostalgique qu'elle écrit la plupart
des chansons de son premier EP « Le lac ». Sorti fin 2021, on y découvre une
cartographie intime et sincère. Son premier extrait, « Le renard passe », a rayonné depuis les ondes belges jusqu'au film international American Night (Alessio Della Valle avec Rhys Meyers, Emile Hirsch, etc). Belle récompense
pour la jeune femme qui avait déjà remporté la 3ème finale du "F dans le texte" la
même année. Ces reconnaissances et les critiques positives de cet EP lui
permettent de se produire sur quelques belles scènes (Botanique, Atelier 210,
Théâtre National, Le 140, Festival FrancoFaune, LaSemo, etc), accompagnée par le guitariste Romain Verwilghen, le tromboniste Julien Guilloux et le batteur
Edouard Cabuy.
Aujourd'hui elle prépare son premier album, « Le Long de la Lys ». Cet opus
retrace le parcours intime et géographique de l'auteure pour s'affranchir d'une
relation toxique et du conditionnement genré dans lequel elle a grandi. L'album
qui emprunte son nom à la rivière belge, berceau des origines de Gabrielle,
s'inscrit dans la suite logique de son premier EP fondateur. Avec ce recueil,
l'univers résolument pop-folk de la chanteuse s'affirme et s'épure pour faire
place à des chansons sans compromis où la voix s'épanouit, s'émancipe et se
démultiplie. Chœurs mélancoliques, jeu de cordes aux douces tensions, son
cotonneux du trombone, on découvre rapidement un paysage à la fois
nostalgique et plein d'espoir.
pop à texte française. Dans un univers sonore sans bord, mélancolie et
sérénité se côtoient pour offrir un paysage intime et lumineux.
Cette ex-timide découvre à 20 ans bien passés sa voix comme un passeport, voix
qu'elle réservait jusqu'alors pour les murs rassurants de la maison familiale. Un
diplôme de Langues et Littératures Romanes en poche, elle s'échappe à Rotterdam
pour y intégrer un conservatoire de musiques du monde. Et c'est son propre univers qu'elle se crée, fait de vécus personnels et d'influences (pop-folk, indierock et musique indienne). De ce séjour, il reste des expériences, douloureuses parfois, qu'elle évoque en anglais par respect pour la langue de celles-ci. Mais quand les choses se vivent ici, c'est en français qu'elle ose les dire. En 2018 elle remet le cap sur Bruxelles, avec quelques compos en poche et beaucoup de
tristesse liée à ce départ. C'est sur ce terreau nostalgique qu'elle écrit la plupart
des chansons de son premier EP « Le lac ». Sorti fin 2021, on y découvre une
cartographie intime et sincère. Son premier extrait, « Le renard passe », a rayonné depuis les ondes belges jusqu'au film international American Night (Alessio Della Valle avec Rhys Meyers, Emile Hirsch, etc). Belle récompense
pour la jeune femme qui avait déjà remporté la 3ème finale du "F dans le texte" la
même année. Ces reconnaissances et les critiques positives de cet EP lui
permettent de se produire sur quelques belles scènes (Botanique, Atelier 210,
Théâtre National, Le 140, Festival FrancoFaune, LaSemo, etc), accompagnée par le guitariste Romain Verwilghen, le tromboniste Julien Guilloux et le batteur
Edouard Cabuy.
Aujourd'hui elle prépare son premier album, « Le Long de la Lys ». Cet opus
retrace le parcours intime et géographique de l'auteure pour s'affranchir d'une
relation toxique et du conditionnement genré dans lequel elle a grandi. L'album
qui emprunte son nom à la rivière belge, berceau des origines de Gabrielle,
s'inscrit dans la suite logique de son premier EP fondateur. Avec ce recueil,
l'univers résolument pop-folk de la chanteuse s'affirme et s'épure pour faire
place à des chansons sans compromis où la voix s'épanouit, s'émancipe et se
démultiplie. Chœurs mélancoliques, jeu de cordes aux douces tensions, son
cotonneux du trombone, on découvre rapidement un paysage à la fois
nostalgique et plein d'espoir.
Biographie
Avec sa voix force et velours, Gabrielle Verleyen réconcilie l'indie-folk et la
pop à texte française. Dans un univers sonore sans bord, mélancolie et
sérénité se côtoient pour offrir un paysage intime et lumineux.
Cette ex-timide découvre à 20 ans bien passés sa voix comme un passeport, voix
qu'elle réservait jusqu'alors pour les murs rassurants de la maison familiale. Un
diplôme de Langues et Littératures Romanes en poche, elle s'échappe à Rotterdam
pour y intégrer un conservatoire de musiques du monde. Et c'est son propre univers qu'elle se crée, fait de vécus personnels et d'influences (pop-folk, indierock et musique indienne). De ce séjour, il reste des expériences, douloureuses parfois, qu'elle évoque en anglais par respect pour la langue de celles-ci. Mais quand les choses se vivent ici, c'est en français qu'elle ose les dire. En 2018 elle remet le cap sur Bruxelles, avec quelques compos en poche et beaucoup de
tristesse liée à ce départ. C'est sur ce terreau nostalgique qu'elle écrit la plupart
des chansons de son premier EP « Le lac ». Sorti fin 2021, on y découvre une
cartographie intime et sincère. Son premier extrait, « Le renard passe », a rayonné depuis les ondes belges jusqu'au film international American Night (Alessio Della Valle avec Rhys Meyers, Emile Hirsch, etc). Belle récompense
pour la jeune femme qui avait déjà remporté la 3ème finale du "F dans le texte" la
même année. Ces reconnaissances et les critiques positives de cet EP lui
permettent de se produire sur quelques belles scènes (Botanique, Atelier 210,
Théâtre National, Le 140, Festival FrancoFaune, LaSemo, etc), accompagnée par le guitariste Romain Verwilghen, le tromboniste Julien Guilloux et le batteur
Edouard Cabuy.
Aujourd'hui elle prépare son premier album, « Le Long de la Lys ». Cet opus
retrace le parcours intime et géographique de l'auteure pour s'affranchir d'une
relation toxique et du conditionnement genré dans lequel elle a grandi. L'album
qui emprunte son nom à la rivière belge, berceau des origines de Gabrielle,
s'inscrit dans la suite logique de son premier EP fondateur. Avec ce recueil,
l'univers résolument pop-folk de la chanteuse s'affirme et s'épure pour faire
place à des chansons sans compromis où la voix s'épanouit, s'émancipe et se
démultiplie. Chœurs mélancoliques, jeu de cordes aux douces tensions, son
cotonneux du trombone, on découvre rapidement un paysage à la fois
nostalgique et plein d'espoir.
pop à texte française. Dans un univers sonore sans bord, mélancolie et
sérénité se côtoient pour offrir un paysage intime et lumineux.
Cette ex-timide découvre à 20 ans bien passés sa voix comme un passeport, voix
qu'elle réservait jusqu'alors pour les murs rassurants de la maison familiale. Un
diplôme de Langues et Littératures Romanes en poche, elle s'échappe à Rotterdam
pour y intégrer un conservatoire de musiques du monde. Et c'est son propre univers qu'elle se crée, fait de vécus personnels et d'influences (pop-folk, indierock et musique indienne). De ce séjour, il reste des expériences, douloureuses parfois, qu'elle évoque en anglais par respect pour la langue de celles-ci. Mais quand les choses se vivent ici, c'est en français qu'elle ose les dire. En 2018 elle remet le cap sur Bruxelles, avec quelques compos en poche et beaucoup de
tristesse liée à ce départ. C'est sur ce terreau nostalgique qu'elle écrit la plupart
des chansons de son premier EP « Le lac ». Sorti fin 2021, on y découvre une
cartographie intime et sincère. Son premier extrait, « Le renard passe », a rayonné depuis les ondes belges jusqu'au film international American Night (Alessio Della Valle avec Rhys Meyers, Emile Hirsch, etc). Belle récompense
pour la jeune femme qui avait déjà remporté la 3ème finale du "F dans le texte" la
même année. Ces reconnaissances et les critiques positives de cet EP lui
permettent de se produire sur quelques belles scènes (Botanique, Atelier 210,
Théâtre National, Le 140, Festival FrancoFaune, LaSemo, etc), accompagnée par le guitariste Romain Verwilghen, le tromboniste Julien Guilloux et le batteur
Edouard Cabuy.
Aujourd'hui elle prépare son premier album, « Le Long de la Lys ». Cet opus
retrace le parcours intime et géographique de l'auteure pour s'affranchir d'une
relation toxique et du conditionnement genré dans lequel elle a grandi. L'album
qui emprunte son nom à la rivière belge, berceau des origines de Gabrielle,
s'inscrit dans la suite logique de son premier EP fondateur. Avec ce recueil,
l'univers résolument pop-folk de la chanteuse s'affirme et s'épure pour faire
place à des chansons sans compromis où la voix s'épanouit, s'émancipe et se
démultiplie. Chœurs mélancoliques, jeu de cordes aux douces tensions, son
cotonneux du trombone, on découvre rapidement un paysage à la fois
nostalgique et plein d'espoir.