GLAISE
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court-circuit.band
Biographie
Le temps du geste est publié chez Homerecords.be. le premier opus aussi singulier que novateur de GLAISE, trio formé par Alexandre Bughin, Philippe Cloes et Nicolas Paternotte.
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Si l'ADN est résolument chambriste, le trio s'aventure aisément dans une proposition artistique exigeante mais grande ouverte. A travers un univers rafraîchissant, certaines tournures laissent penser à quelques grands de la chanson française et ne se privent pas de lorgner vers le jazz, notamment.
FROTTÉES, FRAPPÉES, VOCALES, DES CORDES élancées DANS UNE CRÉATION FRANCOPHONE audacieuse et singulière !
Sous la houlette de eRno le Mentholé à la production artistique et Michel Van Achter au mixage et mastering, l'opus propose une dynamique instrumentale caractérisée par son naturel (Huile d'argan, L'angor) et son amplitude (Emaillent les langues, Hortense)..
Une respiration, une langue dans la bouche, le bruit d'un doigt sur la corde ou la feutrine d'un marteau de piano. Le temps du geste, à travers une indéniable exigence d'écriture musicale et verbale, livre une création authentique.
Le traitement vocal, quant à lui, oscille entre une certaine impudeur (La terre s'en nourrit, Hortense) jusqu'aux teintes les plus audacieuses issues d'un mixage aux influences anglo-saxonnes (Fausse relation, Avant l'heure). En passant par le décharné Grappes et gouttes.
Sur les titres D'où et Émaillent les langues, on remarque la belle présence de Martin Descamps, percussionniste-solo et second timbalier de l'Opéra Royal de Wallonie et membre du Duo Phébus.
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GLAISE ne manque pas les références au grand répertoire avec une version cinématographique du premier mouvement de la sonate pour piano et violoncelle de S.Prokofiev dans laquelle vont se nicher des voix habitées.
EN QUELQUES LIGNES...
GLAISE confirme une création à haute valeur ajoutée, singulière, ainsi qu'une aisance et un plaisir à être là où l'on ne les attendrait pas. Sans nier les références sonores auxquelles elle renvoie, cette nouvelle formule avec Alexandre Bughin propose un langage musical pluriel d'où se dégagent les orientations des trois axes présents dans le trio :
- L'axe voix - piano représente travaux et recherches entre Philippe et Nicolas depuis 2014, dans une inlassable construction esthétique de la symbiose des mots et des notes. En font traces les deux disques publiés en 2015 et 2018, salués par le métier et la presse pour la qualité artistique, l'audace et l'innovation.
- L'axe violoncelle - piano renvoie au grand répertoire dédié à ces deux instruments qu'Alexandre et Nicolas ont appris à approcher et pratiquer ensemble avant de s'inscrire dans une démarche de création au sein du trio.
- L'axe voix - violoncelle touche immanquablement par la fluidité des courbes mélodiques destinées à se rejoindre naturellement dans des fréquences proches mais des timbres distincts.
Le langage qui émane de cette création se tourne tantôt vers la musique contemporaine, par un traitement plus moderne du violoncelle, comme le ponticello ou l'exploitation des harmoniques, harmonies atonales,... ; tantôt vers le jazz avec des frappes percussives sur les instruments, des improvisations et autres accentuations rythmiques. Ou encore vers des schémas classiques avec, notamment, des formes ou des développements thématiques.
Mais toujours une expressivité simplement intemporelle que cherchent à obtenir ensemble ces cordes vocales, frottées et frappées.
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Si l'ADN est résolument chambriste, le trio s'aventure aisément dans une proposition artistique exigeante mais grande ouverte. A travers un univers rafraîchissant, certaines tournures laissent penser à quelques grands de la chanson française et ne se privent pas de lorgner vers le jazz, notamment.
FROTTÉES, FRAPPÉES, VOCALES, DES CORDES élancées DANS UNE CRÉATION FRANCOPHONE audacieuse et singulière !
Sous la houlette de eRno le Mentholé à la production artistique et Michel Van Achter au mixage et mastering, l'opus propose une dynamique instrumentale caractérisée par son naturel (Huile d'argan, L'angor) et son amplitude (Emaillent les langues, Hortense)..
Une respiration, une langue dans la bouche, le bruit d'un doigt sur la corde ou la feutrine d'un marteau de piano. Le temps du geste, à travers une indéniable exigence d'écriture musicale et verbale, livre une création authentique.
Le traitement vocal, quant à lui, oscille entre une certaine impudeur (La terre s'en nourrit, Hortense) jusqu'aux teintes les plus audacieuses issues d'un mixage aux influences anglo-saxonnes (Fausse relation, Avant l'heure). En passant par le décharné Grappes et gouttes.
Sur les titres D'où et Émaillent les langues, on remarque la belle présence de Martin Descamps, percussionniste-solo et second timbalier de l'Opéra Royal de Wallonie et membre du Duo Phébus.
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GLAISE ne manque pas les références au grand répertoire avec une version cinématographique du premier mouvement de la sonate pour piano et violoncelle de S.Prokofiev dans laquelle vont se nicher des voix habitées.
EN QUELQUES LIGNES...
GLAISE confirme une création à haute valeur ajoutée, singulière, ainsi qu'une aisance et un plaisir à être là où l'on ne les attendrait pas. Sans nier les références sonores auxquelles elle renvoie, cette nouvelle formule avec Alexandre Bughin propose un langage musical pluriel d'où se dégagent les orientations des trois axes présents dans le trio :
- L'axe voix - piano représente travaux et recherches entre Philippe et Nicolas depuis 2014, dans une inlassable construction esthétique de la symbiose des mots et des notes. En font traces les deux disques publiés en 2015 et 2018, salués par le métier et la presse pour la qualité artistique, l'audace et l'innovation.
- L'axe violoncelle - piano renvoie au grand répertoire dédié à ces deux instruments qu'Alexandre et Nicolas ont appris à approcher et pratiquer ensemble avant de s'inscrire dans une démarche de création au sein du trio.
- L'axe voix - violoncelle touche immanquablement par la fluidité des courbes mélodiques destinées à se rejoindre naturellement dans des fréquences proches mais des timbres distincts.
Le langage qui émane de cette création se tourne tantôt vers la musique contemporaine, par un traitement plus moderne du violoncelle, comme le ponticello ou l'exploitation des harmoniques, harmonies atonales,... ; tantôt vers le jazz avec des frappes percussives sur les instruments, des improvisations et autres accentuations rythmiques. Ou encore vers des schémas classiques avec, notamment, des formes ou des développements thématiques.
Mais toujours une expressivité simplement intemporelle que cherchent à obtenir ensemble ces cordes vocales, frottées et frappées.
Contacts et médias
Retrouvez ici les plateformes sur lesquelles l'artiste est présent.
Biographie
Le temps du geste est publié chez Homerecords.be. le premier opus aussi singulier que novateur de GLAISE, trio formé par Alexandre Bughin, Philippe Cloes et Nicolas Paternotte.
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Si l'ADN est résolument chambriste, le trio s'aventure aisément dans une proposition artistique exigeante mais grande ouverte. A travers un univers rafraîchissant, certaines tournures laissent penser à quelques grands de la chanson française et ne se privent pas de lorgner vers le jazz, notamment.
FROTTÉES, FRAPPÉES, VOCALES, DES CORDES élancées DANS UNE CRÉATION FRANCOPHONE audacieuse et singulière !
Sous la houlette de eRno le Mentholé à la production artistique et Michel Van Achter au mixage et mastering, l'opus propose une dynamique instrumentale caractérisée par son naturel (Huile d'argan, L'angor) et son amplitude (Emaillent les langues, Hortense)..
Une respiration, une langue dans la bouche, le bruit d'un doigt sur la corde ou la feutrine d'un marteau de piano. Le temps du geste, à travers une indéniable exigence d'écriture musicale et verbale, livre une création authentique.
Le traitement vocal, quant à lui, oscille entre une certaine impudeur (La terre s'en nourrit, Hortense) jusqu'aux teintes les plus audacieuses issues d'un mixage aux influences anglo-saxonnes (Fausse relation, Avant l'heure). En passant par le décharné Grappes et gouttes.
Sur les titres D'où et Émaillent les langues, on remarque la belle présence de Martin Descamps, percussionniste-solo et second timbalier de l'Opéra Royal de Wallonie et membre du Duo Phébus.
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GLAISE ne manque pas les références au grand répertoire avec une version cinématographique du premier mouvement de la sonate pour piano et violoncelle de S.Prokofiev dans laquelle vont se nicher des voix habitées.
EN QUELQUES LIGNES...
GLAISE confirme une création à haute valeur ajoutée, singulière, ainsi qu'une aisance et un plaisir à être là où l'on ne les attendrait pas. Sans nier les références sonores auxquelles elle renvoie, cette nouvelle formule avec Alexandre Bughin propose un langage musical pluriel d'où se dégagent les orientations des trois axes présents dans le trio :
- L'axe voix - piano représente travaux et recherches entre Philippe et Nicolas depuis 2014, dans une inlassable construction esthétique de la symbiose des mots et des notes. En font traces les deux disques publiés en 2015 et 2018, salués par le métier et la presse pour la qualité artistique, l'audace et l'innovation.
- L'axe violoncelle - piano renvoie au grand répertoire dédié à ces deux instruments qu'Alexandre et Nicolas ont appris à approcher et pratiquer ensemble avant de s'inscrire dans une démarche de création au sein du trio.
- L'axe voix - violoncelle touche immanquablement par la fluidité des courbes mélodiques destinées à se rejoindre naturellement dans des fréquences proches mais des timbres distincts.
Le langage qui émane de cette création se tourne tantôt vers la musique contemporaine, par un traitement plus moderne du violoncelle, comme le ponticello ou l'exploitation des harmoniques, harmonies atonales,... ; tantôt vers le jazz avec des frappes percussives sur les instruments, des improvisations et autres accentuations rythmiques. Ou encore vers des schémas classiques avec, notamment, des formes ou des développements thématiques.
Mais toujours une expressivité simplement intemporelle que cherchent à obtenir ensemble ces cordes vocales, frottées et frappées.
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Si l'ADN est résolument chambriste, le trio s'aventure aisément dans une proposition artistique exigeante mais grande ouverte. A travers un univers rafraîchissant, certaines tournures laissent penser à quelques grands de la chanson française et ne se privent pas de lorgner vers le jazz, notamment.
FROTTÉES, FRAPPÉES, VOCALES, DES CORDES élancées DANS UNE CRÉATION FRANCOPHONE audacieuse et singulière !
Sous la houlette de eRno le Mentholé à la production artistique et Michel Van Achter au mixage et mastering, l'opus propose une dynamique instrumentale caractérisée par son naturel (Huile d'argan, L'angor) et son amplitude (Emaillent les langues, Hortense)..
Une respiration, une langue dans la bouche, le bruit d'un doigt sur la corde ou la feutrine d'un marteau de piano. Le temps du geste, à travers une indéniable exigence d'écriture musicale et verbale, livre une création authentique.
Le traitement vocal, quant à lui, oscille entre une certaine impudeur (La terre s'en nourrit, Hortense) jusqu'aux teintes les plus audacieuses issues d'un mixage aux influences anglo-saxonnes (Fausse relation, Avant l'heure). En passant par le décharné Grappes et gouttes.
Sur les titres D'où et Émaillent les langues, on remarque la belle présence de Martin Descamps, percussionniste-solo et second timbalier de l'Opéra Royal de Wallonie et membre du Duo Phébus.
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GLAISE ne manque pas les références au grand répertoire avec une version cinématographique du premier mouvement de la sonate pour piano et violoncelle de S.Prokofiev dans laquelle vont se nicher des voix habitées.
EN QUELQUES LIGNES...
GLAISE confirme une création à haute valeur ajoutée, singulière, ainsi qu'une aisance et un plaisir à être là où l'on ne les attendrait pas. Sans nier les références sonores auxquelles elle renvoie, cette nouvelle formule avec Alexandre Bughin propose un langage musical pluriel d'où se dégagent les orientations des trois axes présents dans le trio :
- L'axe voix - piano représente travaux et recherches entre Philippe et Nicolas depuis 2014, dans une inlassable construction esthétique de la symbiose des mots et des notes. En font traces les deux disques publiés en 2015 et 2018, salués par le métier et la presse pour la qualité artistique, l'audace et l'innovation.
- L'axe violoncelle - piano renvoie au grand répertoire dédié à ces deux instruments qu'Alexandre et Nicolas ont appris à approcher et pratiquer ensemble avant de s'inscrire dans une démarche de création au sein du trio.
- L'axe voix - violoncelle touche immanquablement par la fluidité des courbes mélodiques destinées à se rejoindre naturellement dans des fréquences proches mais des timbres distincts.
Le langage qui émane de cette création se tourne tantôt vers la musique contemporaine, par un traitement plus moderne du violoncelle, comme le ponticello ou l'exploitation des harmoniques, harmonies atonales,... ; tantôt vers le jazz avec des frappes percussives sur les instruments, des improvisations et autres accentuations rythmiques. Ou encore vers des schémas classiques avec, notamment, des formes ou des développements thématiques.
Mais toujours une expressivité simplement intemporelle que cherchent à obtenir ensemble ces cordes vocales, frottées et frappées.
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