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Biographie
Avec une moyenne d’âge de 22 ans, Stonks confirme que les guitares shoegaze ont encore des beaux jours devant elles. Mais avec deux EP, dont 'Badger' sorti sur le toujours le label bruxellois EXAG Records, le quartet a déjà prouvé qu’il faudra compter sur eux dans les prochaines années.
Bien sûr, il y a les influences du moment — depuis Viagra Boys à Squid — mais sur ‘Badger’, Stonks montre surtout un visage versatile et hyper créatif, une capacité à créer un univers singulier assez sombre, parfois angoissé, mais toujours avec le sourire en coin. Parce que, oui, au-delà des rythmiques qui fracassent, des trompettes qui chavirent et des guitares qui cisèlent, il y a beaucoup de désinvolture, un je-m’en-foutisme que Stephen Malkmus appréciera certainement.
❤ Pour les fans de Black Country, New Road, Fontaines D.C., Preoccupations
Bien sûr, il y a les influences du moment — depuis Viagra Boys à Squid — mais sur ‘Badger’, Stonks montre surtout un visage versatile et hyper créatif, une capacité à créer un univers singulier assez sombre, parfois angoissé, mais toujours avec le sourire en coin. Parce que, oui, au-delà des rythmiques qui fracassent, des trompettes qui chavirent et des guitares qui cisèlent, il y a beaucoup de désinvolture, un je-m’en-foutisme que Stephen Malkmus appréciera certainement.
❤ Pour les fans de Black Country, New Road, Fontaines D.C., Preoccupations
Biographie
Avec une moyenne d’âge de 22 ans, Stonks confirme que les guitares shoegaze ont encore des beaux jours devant elles. Mais avec deux EP, dont 'Badger' sorti sur le toujours le label bruxellois EXAG Records, le quartet a déjà prouvé qu’il faudra compter sur eux dans les prochaines années.
Bien sûr, il y a les influences du moment — depuis Viagra Boys à Squid — mais sur ‘Badger’, Stonks montre surtout un visage versatile et hyper créatif, une capacité à créer un univers singulier assez sombre, parfois angoissé, mais toujours avec le sourire en coin. Parce que, oui, au-delà des rythmiques qui fracassent, des trompettes qui chavirent et des guitares qui cisèlent, il y a beaucoup de désinvolture, un je-m’en-foutisme que Stephen Malkmus appréciera certainement.
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Bien sûr, il y a les influences du moment — depuis Viagra Boys à Squid — mais sur ‘Badger’, Stonks montre surtout un visage versatile et hyper créatif, une capacité à créer un univers singulier assez sombre, parfois angoissé, mais toujours avec le sourire en coin. Parce que, oui, au-delà des rythmiques qui fracassent, des trompettes qui chavirent et des guitares qui cisèlent, il y a beaucoup de désinvolture, un je-m’en-foutisme que Stephen Malkmus appréciera certainement.
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